Tous ceux qui ont été formés par Khadimou Rassoul, ou qui se sont abreuvé à la source de ses enseignements, ont adopté cette ligne de conduite et n’ont jamais répondu aux offenses qui leur ont été faites. Ils ont toujours pardonné.
La crainte révérencielle et la soumission à Allah et à son Prophète (SAW) et le culte du travail, sont pour les disciples mourides, la voie de la Rédemption.
Cette banalisation excessive, voire cette tolérance face à l’adversité et les complots des ennemis, a été vite assimilée à de la passivité, laissant croire que les mourides sont « bons à tout faire » et que l’on peut « dire tout et n’importe quoi » sur eux, sans courir aucun risque.
L’on disait même que « les mourides sont des faiseurs de rois, mais ne seront jamais des rois ».
Les mourides qui ne sont demandeurs de rien, car pouvant tout obtenir à la sueur de leur front, ont connu toutes les privations.
Excédé, Serigne Abdou Lahat, fils du Cheikh et dont le franc parler est connu de tous, avait même déclaré, publiquement, vouloir se passer des services d’un médiat public, devant l’ostracisme et le boycott dont étaient victimes la communauté mouride, pour la couverture de ses activités.
Aujourd’hui, encore, il ne se passe pas un jour, sans que les mourides ne soient pas brimés, caricaturés, insultés, stigmatisés. Ils font toujours l’actualité, mais toujours sous un jour sombre.
- Dans la presse écrite, les mourides font toujours « la une des journaux » avec un contenu abject, sans lien avec le titre, n’ayant rien à voir avec la réalité, juste à des fins commerciales.
- Des articles « commandités par des bailleurs de fonds », donc revêtu du caractère le plus officiel, font « leurs choux gras » sur la ville de Touba, qui serait un haut lieu de blanchiment de l’argent sale ;
- A la Télévision, surtout sur l’international (reportage de M6), la communauté mouride est assimilée à des vendeurs à la sauvette, des receleurs, au service d’une hiérarchie maraboutique. Au niveau national, la couverture des activités économiques, des richesses cultuelles et culturelles de la ville de Touba, n’intéressent aucune télévision. Seuls les magals sont couverts, sous l’angle festif;
- A la radio, les émissions interactives n’épargnent pas les mourides qui auraient investi « keur serigne bi », non pas à des fins humanitaires pour y vendre des médicaments à bas prix, mais de la drogue et autres produits interdits ;
- Sur internet, le khalife est lui-même insulté.
Nous disons, ici et maintenant, que ça suffit, il faut mettre un terme à cette dérives et les journalistes sont les premiers interpelés.
Nous connaissons les vrais journalistes, car le journalisme, ce métier noble, compte en son sein, des gens vertueux et merveilleux. Malheureusement, nous connaissons aussi « des journalistes crapuleux » qui se cachent derrière des pseudonymes. Nous allons les débusquer et les livrer au grand jour
Trop c’est trop.
Il faut éviter que la Communauté mouride, se sentant persécutée, n’organisât sa défense. Elle a les moyens et l’organisation qu’il faut. Mais il est encore possible d’éviter d’en arriver là.
C’est pourquoi, il est urgent que la Communauté mouride, pour gagner la bataille de la communication et vaincre à jamais ce fatalisme du mouride gentil et inoffensif, se dote au moins de 2 outils:
1) d’un Institut pour promouvoir son développement spirituel, économique et social, sur la base des enseignements de Cheikh Ahmadou Bamba.
A cet effet, L’Institut Khadimou Rassoul (I.KH.RA), en gestation, devrait rapidement voir le jour pour combler ce vide ;
2) d’une radiodiffusion télévision de la communauté mouride, pour prendre en charge, l’impérieux besoin de communication d’une communauté qui est en réalité, le ressort économique et spirituel du Sénégal ;
Fait à Touba le 30 nov. 2009
La Cellule de Communication du Khalife Général des mourides
La crainte révérencielle et la soumission à Allah et à son Prophète (SAW) et le culte du travail, sont pour les disciples mourides, la voie de la Rédemption.
Cette banalisation excessive, voire cette tolérance face à l’adversité et les complots des ennemis, a été vite assimilée à de la passivité, laissant croire que les mourides sont « bons à tout faire » et que l’on peut « dire tout et n’importe quoi » sur eux, sans courir aucun risque.
L’on disait même que « les mourides sont des faiseurs de rois, mais ne seront jamais des rois ».
Les mourides qui ne sont demandeurs de rien, car pouvant tout obtenir à la sueur de leur front, ont connu toutes les privations.
Excédé, Serigne Abdou Lahat, fils du Cheikh et dont le franc parler est connu de tous, avait même déclaré, publiquement, vouloir se passer des services d’un médiat public, devant l’ostracisme et le boycott dont étaient victimes la communauté mouride, pour la couverture de ses activités.
Aujourd’hui, encore, il ne se passe pas un jour, sans que les mourides ne soient pas brimés, caricaturés, insultés, stigmatisés. Ils font toujours l’actualité, mais toujours sous un jour sombre.
- Dans la presse écrite, les mourides font toujours « la une des journaux » avec un contenu abject, sans lien avec le titre, n’ayant rien à voir avec la réalité, juste à des fins commerciales.
- Des articles « commandités par des bailleurs de fonds », donc revêtu du caractère le plus officiel, font « leurs choux gras » sur la ville de Touba, qui serait un haut lieu de blanchiment de l’argent sale ;
- A la Télévision, surtout sur l’international (reportage de M6), la communauté mouride est assimilée à des vendeurs à la sauvette, des receleurs, au service d’une hiérarchie maraboutique. Au niveau national, la couverture des activités économiques, des richesses cultuelles et culturelles de la ville de Touba, n’intéressent aucune télévision. Seuls les magals sont couverts, sous l’angle festif;
- A la radio, les émissions interactives n’épargnent pas les mourides qui auraient investi « keur serigne bi », non pas à des fins humanitaires pour y vendre des médicaments à bas prix, mais de la drogue et autres produits interdits ;
- Sur internet, le khalife est lui-même insulté.
Nous disons, ici et maintenant, que ça suffit, il faut mettre un terme à cette dérives et les journalistes sont les premiers interpelés.
Nous connaissons les vrais journalistes, car le journalisme, ce métier noble, compte en son sein, des gens vertueux et merveilleux. Malheureusement, nous connaissons aussi « des journalistes crapuleux » qui se cachent derrière des pseudonymes. Nous allons les débusquer et les livrer au grand jour
Trop c’est trop.
Il faut éviter que la Communauté mouride, se sentant persécutée, n’organisât sa défense. Elle a les moyens et l’organisation qu’il faut. Mais il est encore possible d’éviter d’en arriver là.
C’est pourquoi, il est urgent que la Communauté mouride, pour gagner la bataille de la communication et vaincre à jamais ce fatalisme du mouride gentil et inoffensif, se dote au moins de 2 outils:
1) d’un Institut pour promouvoir son développement spirituel, économique et social, sur la base des enseignements de Cheikh Ahmadou Bamba.
A cet effet, L’Institut Khadimou Rassoul (I.KH.RA), en gestation, devrait rapidement voir le jour pour combler ce vide ;
2) d’une radiodiffusion télévision de la communauté mouride, pour prendre en charge, l’impérieux besoin de communication d’une communauté qui est en réalité, le ressort économique et spirituel du Sénégal ;
Fait à Touba le 30 nov. 2009
La Cellule de Communication du Khalife Général des mourides