L'affaire opposant le leader du Raam Daan, Thione Ballago Seck au Groupement d'intérêt économique (Gie) Top One, basé à Mbour, a été appelé hier devant le juge civil et commercial. Seulement, sur demande de la défense, le procès a, une fois de plus, été renvoyé au 23 mars prochain. Date à laquelle Me Abdou Dialy Kane de la défense va en découdre avec son confrère de la partie civile, Me Alassane Cissé.
Pour comprendre les faits qui ont valu à Thione Seck d'être poursuivi par le Gie Top One, il faut remonter au mois de mai 2009. En effet, c'est durant cette période que les deux parties avaient signé un protocole dans lequel il était convenu que le groupe musical s'engageait à se produire tous les mardis dans la boîte de nuit «Star Night Club» sise à Saly. C'est donc dans ces circonstances qu'une avance de 20 millions avait été remise au chanteur, pour lui permettre de se produire. Une somme que réclame le plaignant au musicien, aujourd'hui, sous prétexte qu'il n'a pas intégralement respecté ses engagements.
Quoi qu'il en soit, il faut retenir qu'en exécution de cet accord, le leader du Raam Daan s'est produit dans la boîte de nuit, durant au moins 21 semaines. Le hic, c'est que, contrairement aux attentes des deux parties, tout ne marchait pas comme prévu, puisque que les soirées étaient quasi-désertes. Ce qui fait que les deux parties n'y gagnaient rien. À ce propos, il faut signaler que Me Abdou Dialy Kane, avocat de la défense, avait expliqué dans le journal l'As qu'au moment où Thione dépensait 600 000 francs à chaque déplacement de son staff, les entrées oscillaient entre 97 000 F Cfa, 117 000 F Cfa, 90 000 F Cfa. C'est donc, avait souligné l'avocat, dans ces circonstances que, d'un commun accord, les deux parties avaient décidé de mettre fin aux prestations. Et pour compenser l'avance déjà donnée, souligne toujours Me Kane, Thione Seck avait laissé aux plaignants le matériel de sonorisation estimé à 17 millions Cfa. Si, après cette compensation, Thione a estimé ne plus devoir un sou au Gie Top One, ce dernier, estimant avoir été abusé, n'a pas hésité à citer à comparaître le leader du Raam Daan devant le juge civil et commercial.
Pour comprendre les faits qui ont valu à Thione Seck d'être poursuivi par le Gie Top One, il faut remonter au mois de mai 2009. En effet, c'est durant cette période que les deux parties avaient signé un protocole dans lequel il était convenu que le groupe musical s'engageait à se produire tous les mardis dans la boîte de nuit «Star Night Club» sise à Saly. C'est donc dans ces circonstances qu'une avance de 20 millions avait été remise au chanteur, pour lui permettre de se produire. Une somme que réclame le plaignant au musicien, aujourd'hui, sous prétexte qu'il n'a pas intégralement respecté ses engagements.
Quoi qu'il en soit, il faut retenir qu'en exécution de cet accord, le leader du Raam Daan s'est produit dans la boîte de nuit, durant au moins 21 semaines. Le hic, c'est que, contrairement aux attentes des deux parties, tout ne marchait pas comme prévu, puisque que les soirées étaient quasi-désertes. Ce qui fait que les deux parties n'y gagnaient rien. À ce propos, il faut signaler que Me Abdou Dialy Kane, avocat de la défense, avait expliqué dans le journal l'As qu'au moment où Thione dépensait 600 000 francs à chaque déplacement de son staff, les entrées oscillaient entre 97 000 F Cfa, 117 000 F Cfa, 90 000 F Cfa. C'est donc, avait souligné l'avocat, dans ces circonstances que, d'un commun accord, les deux parties avaient décidé de mettre fin aux prestations. Et pour compenser l'avance déjà donnée, souligne toujours Me Kane, Thione Seck avait laissé aux plaignants le matériel de sonorisation estimé à 17 millions Cfa. Si, après cette compensation, Thione a estimé ne plus devoir un sou au Gie Top One, ce dernier, estimant avoir été abusé, n'a pas hésité à citer à comparaître le leader du Raam Daan devant le juge civil et commercial.
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
