Les coupures n’ont pas fini de sévir. Des matériels électroménagers aux outils de travail, l’électricité trouble le sommeil des populations qui ne savent plus où donner la tête.
Les délestages ont causé des préjudices dans les familles, les cyber café, ateliers de tailleurs ou autres petites et moyennes entreprises nichés dans les quartiers de Dakar. Celui de Grand Dakar n’échappe pas à cette dure réalité. Ici, le ras-le-bol est général. La dame Khady, une ménagére habitant à Grand-Dakar n’en peut plus. « Nous avons marre de ses délestages. On ne peut plus conserver nos aliments, le poisson. Boire simplement de l’eau fraîche est devenu un luxe.
Le matériel électroménager comme les réfrigérateurs et nos postes téléviseurs ne sont plus en bon état. Sans parler de nos ventilateurs que l’on ne peut plus utiliser en ces temps de fortes chaleurs. On est obligé de veiller toute la nuit pour se préserver de la piqûre des moustiques vecteurs du paludisme.
En dépit de tout cela, les factures de la Sénélec sont toujours élevées. Nous sommes fatigués et je le dis haut et fort », confie t-elle, avant d’appeler la compagnie d’électricité à mettre un terme aux nombreux délestages Mor Pouye, tailleur de son état, a fait part de son inquiétude face aux coupures qui affectent son travail surtout à l’approche de la fête de Korité “Ce n’est pas une chose qui arrange les péres de famille que nous sommes.
Les deux factures sont également chères. Je lance un appel aux responsables de la Senelec de rétablir l’électricité enfin d’instaurer la sécurité dans la ville », souligne-t-il.
Lamine gérant de cybercafé a également exprimé son dépit face à cette situation qui porte un coup à l’outil de travail. « Nous sommes plus que fatigués de ces coupures, j’ai perdu 4 machines à cause de ces délestages. On est obligé de payer la location chaque mois. Donc, c‘est notre perte ». C’est la même complainte chez la commerçante Bouya Maréka qui s’active dans la vente de glace et de jus de fruit.
« J’ai perdu mon réfrigérateur à cause de ces délestages de la Sénélec. Je suis obligée d’acheter un autre parce que mon activité en dépend. Je travaille à perte. Les factures se succèdent et deviennent de plus en plus chères. On ne peut plus faire des économies. C’est comme si on travaillait uniquement pour la Senelec », se désole-t-elle.
Même son de cloche chez Diffon Maxime Diatta :« J’ai perdu tout mon matériel. Ma femme qui avait l’habitude de garder des rations d’une semaine ne peut plus se le permettre. On ne dort plus la nuit. Aujourd’hui, il faut veiller toute la nuit. Ce qui n’etonne, c’est qu’en dépit des coupures et la baisse de la consommation, les factures sont excessivement chères. Je ne comprends pas comment il rélève les compteurs », se plaint-il.
« Si tous les secteurs ne sont pas productifs et ne réalisent pas de chiffre d’affaires, comment le pays peut avancer ? C’est la question que je pose aux autorités », s’interroge-t-il.
Les délestages ont causé des préjudices dans les familles, les cyber café, ateliers de tailleurs ou autres petites et moyennes entreprises nichés dans les quartiers de Dakar. Celui de Grand Dakar n’échappe pas à cette dure réalité. Ici, le ras-le-bol est général. La dame Khady, une ménagére habitant à Grand-Dakar n’en peut plus. « Nous avons marre de ses délestages. On ne peut plus conserver nos aliments, le poisson. Boire simplement de l’eau fraîche est devenu un luxe.
Le matériel électroménager comme les réfrigérateurs et nos postes téléviseurs ne sont plus en bon état. Sans parler de nos ventilateurs que l’on ne peut plus utiliser en ces temps de fortes chaleurs. On est obligé de veiller toute la nuit pour se préserver de la piqûre des moustiques vecteurs du paludisme.
En dépit de tout cela, les factures de la Sénélec sont toujours élevées. Nous sommes fatigués et je le dis haut et fort », confie t-elle, avant d’appeler la compagnie d’électricité à mettre un terme aux nombreux délestages Mor Pouye, tailleur de son état, a fait part de son inquiétude face aux coupures qui affectent son travail surtout à l’approche de la fête de Korité “Ce n’est pas une chose qui arrange les péres de famille que nous sommes.
Les deux factures sont également chères. Je lance un appel aux responsables de la Senelec de rétablir l’électricité enfin d’instaurer la sécurité dans la ville », souligne-t-il.
Lamine gérant de cybercafé a également exprimé son dépit face à cette situation qui porte un coup à l’outil de travail. « Nous sommes plus que fatigués de ces coupures, j’ai perdu 4 machines à cause de ces délestages. On est obligé de payer la location chaque mois. Donc, c‘est notre perte ». C’est la même complainte chez la commerçante Bouya Maréka qui s’active dans la vente de glace et de jus de fruit.
« J’ai perdu mon réfrigérateur à cause de ces délestages de la Sénélec. Je suis obligée d’acheter un autre parce que mon activité en dépend. Je travaille à perte. Les factures se succèdent et deviennent de plus en plus chères. On ne peut plus faire des économies. C’est comme si on travaillait uniquement pour la Senelec », se désole-t-elle.
Même son de cloche chez Diffon Maxime Diatta :« J’ai perdu tout mon matériel. Ma femme qui avait l’habitude de garder des rations d’une semaine ne peut plus se le permettre. On ne dort plus la nuit. Aujourd’hui, il faut veiller toute la nuit. Ce qui n’etonne, c’est qu’en dépit des coupures et la baisse de la consommation, les factures sont excessivement chères. Je ne comprends pas comment il rélève les compteurs », se plaint-il.
« Si tous les secteurs ne sont pas productifs et ne réalisent pas de chiffre d’affaires, comment le pays peut avancer ? C’est la question que je pose aux autorités », s’interroge-t-il.