Abdoulaye Wade est candidat à sa propre succession. Et il entend se donner tous les moyens qui pourraient lui assurer un succès total à la présidentielle de 2012. Pour ce faire, Abdoulaye Wade, le Parti démocratique sénégalais (Pds) et leurs alliés savent qu’il leur faut impérativement éviter le second tour qui pourrait voir les partis de Bennoo Siggil Senegaal se regrouper et voter pour le candidat le mieux placé d’entre eux. D’autant que la candidature unique semble plus qu’hypothétique pour l’opposition.
Alors Wade sait qu’il lui faut gagner le maximum de circonscriptions électorales possibles. Seulement, il y a des zones qui font peur à Abdoulaye Wade et à son camp. Il s’agit notamment de la région de Dakar dont pratiquement toutes les collectivités locales sont tombées entre les mains de Bennoo Siggil Senegaal, de la commune de Fatick contrôlée par Macky Sall et son parti, l’Alliance pour la République (Apr), du département de Mbour qui semble redevenir un bastion d’Ousmane Tanor Dieng, le secrétaire général du Parti socialiste (Ps), de la commune de Louga, chasse gardée du maire socialiste Aminata Mbengue Ndiaye, et enfin de la région de Kaolack où l’Alliance des forces de progrès (Afp) de Moustapha Niasse semble se faire une nouvelle jeunesse sous le couvert de la coalition Bennoo Siggil Senegaal. On serait même tenté d’y ajouter la région de Thiès. Mais avec les retrouvailles avec Idrissa Seck, Wade se dit certainement assuré de contrôler la capitale du rail et environs.
Ces localités cibles qui font peur à Wade ont été citées par Serigne Mbacké Ndiaye. Le ministre conseiller chargé des affaires politiques a récemment claqué la porte du Parti de la réforme (Pr) après une brouille avec Abdourahim Agne et Cie. Aujourd’hui, Serigne Mbacké Ndiaye met sur pied une structure dénommée Carrefour Wade 2012 dont la seule ambition est d’aider Wade à gagner les localités citées plus haut. « Si Me Wade peut avoir des problèmes, c’est bien à ce niveau », a dit, mercredi au cours d’une conférence de presse, Serigne Mbacké Ndiaye. Qui poursuit : « Nous avons perdu ces localités, nous voulons les récupérer. »
Pour réussir son pari, Serigne Mbacké Ndiaye dit compter sur les Sénégalais qui ne sont d’aucune formation politique, ceux qui sont dans les autres partis, les frustrés du Parti démocratique sénégalais (Pds)… A l’en croire, il ne s’agira surtout pas de prendre les militants actifs du Pds.
Alors Wade sait qu’il lui faut gagner le maximum de circonscriptions électorales possibles. Seulement, il y a des zones qui font peur à Abdoulaye Wade et à son camp. Il s’agit notamment de la région de Dakar dont pratiquement toutes les collectivités locales sont tombées entre les mains de Bennoo Siggil Senegaal, de la commune de Fatick contrôlée par Macky Sall et son parti, l’Alliance pour la République (Apr), du département de Mbour qui semble redevenir un bastion d’Ousmane Tanor Dieng, le secrétaire général du Parti socialiste (Ps), de la commune de Louga, chasse gardée du maire socialiste Aminata Mbengue Ndiaye, et enfin de la région de Kaolack où l’Alliance des forces de progrès (Afp) de Moustapha Niasse semble se faire une nouvelle jeunesse sous le couvert de la coalition Bennoo Siggil Senegaal. On serait même tenté d’y ajouter la région de Thiès. Mais avec les retrouvailles avec Idrissa Seck, Wade se dit certainement assuré de contrôler la capitale du rail et environs.
Ces localités cibles qui font peur à Wade ont été citées par Serigne Mbacké Ndiaye. Le ministre conseiller chargé des affaires politiques a récemment claqué la porte du Parti de la réforme (Pr) après une brouille avec Abdourahim Agne et Cie. Aujourd’hui, Serigne Mbacké Ndiaye met sur pied une structure dénommée Carrefour Wade 2012 dont la seule ambition est d’aider Wade à gagner les localités citées plus haut. « Si Me Wade peut avoir des problèmes, c’est bien à ce niveau », a dit, mercredi au cours d’une conférence de presse, Serigne Mbacké Ndiaye. Qui poursuit : « Nous avons perdu ces localités, nous voulons les récupérer. »
Pour réussir son pari, Serigne Mbacké Ndiaye dit compter sur les Sénégalais qui ne sont d’aucune formation politique, ceux qui sont dans les autres partis, les frustrés du Parti démocratique sénégalais (Pds)… A l’en croire, il ne s’agira surtout pas de prendre les militants actifs du Pds.