Le nom du candidat de Benno sera connu au mois d’octobre, selon Cheikh Seck, membre du bureau politique du Ps, responsable de l’union départementale des coordinations de Diourbel, premier adjoint à l’union régionale de ladite région et président de la communauté rurale de Ndindy. Si le nom du candidat n’est pas encore donné, dit notre interlocuteur, c’est qu’il y a des préalables à régler. D’abord, il cite l’élaboration d’une Constitution et les réformes à appliquer après l’accession de Bennoo au pouvoir. Ensuite, l’identification des critères pour désigner le candidat. « Actuellement, nous sommes à l’avant dernière phase des préalables qui est l’identification des critères pour désigner notre candidat. Et si tout cela est fait, le candidat de Bennoo sera connu vers le mois d’octobre », a-t-il affirmé.
Répondant aux questions sur le mystère qui voile le nom du candidat, Cheikh Seck a avancé des raisons de stratégie. Il a déclaré que si le candidat est connu avant le terme fixé, le pouvoir pourrait mener une campagne de dénigrement pour ternir son image. « Même si on connaît le candidat, par stratégie, il est préférable de le taire. D’ailleurs, c’est ce silence qui perturbe le Président Wade ; il ne sait pas où nous allons », a dit Monsieur Seck, qui ajoute que par mesure de prudence, la coalition Benno préfère taire le nom du candidat jusqu’en octobre. Vers qui les regards pourraient-t-il se tourner ? Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niass, Abdoulaye Bathily, Landing Savané ? Monsieur Seck donne sa langue au chat et souligne que le candidat peut être n’importe qui parmi ces leaders, car à son avis, ils remplissent les critères pour être Président. De toutes les façons, assure le responsable socialiste, les leaders de Benno vont s’accorder sur un candidat à investir et qui sonnera la fin du règne de Wade. A ce propos, Monsieur Seck soutient mordicus que la candidature du chef de l’Etat est constitutionnellement irrecevable et il serait étonné que le Conseil constitutionnel la valide.
Pape Matar NDIAYE : leral.net
Répondant aux questions sur le mystère qui voile le nom du candidat, Cheikh Seck a avancé des raisons de stratégie. Il a déclaré que si le candidat est connu avant le terme fixé, le pouvoir pourrait mener une campagne de dénigrement pour ternir son image. « Même si on connaît le candidat, par stratégie, il est préférable de le taire. D’ailleurs, c’est ce silence qui perturbe le Président Wade ; il ne sait pas où nous allons », a dit Monsieur Seck, qui ajoute que par mesure de prudence, la coalition Benno préfère taire le nom du candidat jusqu’en octobre. Vers qui les regards pourraient-t-il se tourner ? Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niass, Abdoulaye Bathily, Landing Savané ? Monsieur Seck donne sa langue au chat et souligne que le candidat peut être n’importe qui parmi ces leaders, car à son avis, ils remplissent les critères pour être Président. De toutes les façons, assure le responsable socialiste, les leaders de Benno vont s’accorder sur un candidat à investir et qui sonnera la fin du règne de Wade. A ce propos, Monsieur Seck soutient mordicus que la candidature du chef de l’Etat est constitutionnellement irrecevable et il serait étonné que le Conseil constitutionnel la valide.
Pape Matar NDIAYE : leral.net