Le 18 février prochain, ce sont les militaires qui seront appelés aux urnes, suivi, le lendemain (19 février), du vote des paramilitaires et, enfin, le 26 février le reste des sénégalais, y compris la diaspora. C’est ainsi qu’un calcul à rebours, à partir de ses trois différentes dates, peut entraîner une triple fixation de la date à laquelle le Conseil constitutionnel doit publier la liste des candidats provisoirement retenus pour l’élection présidentielle.
C’est pour ne pas être pris de court que les directoires des différents candidats se ruent actuellement vers le Conseil constitutionnel, afin de ne pas tomber dans le piège créé par ce mutisme de la loi électorale. Mais il faut, par ailleurs, dire que le jour du prononcé de la validation des candidatures, le Conseil constitutionnel devra, après vérifications, publier par arrêté la liste des candidats retenus.
Evidemment, un délai de 24 heures sera ensuite donné pour les éventuels recours de contestation. Ce ne sera qu’après la fin de ce délai de recours que la liste définitive des candidats pourra être rendue publique. Le dernier acte du juge des élections est attendu bien après les élections, avec la publication du candidat vainqueur ou des deux candidats pour le second tour de la « présidentielle ».
Pour l’heure, les différents candidats ou leurs délégués défilent devant le Conseil constitutionnel qui se doit de vérifier, amplement, les dossiers. Mais, on peut dire, d’ores et déjà, que toutes les candidatures déclarées ne seront naturellement pas de la partie, en raison des ralliements déjà observés. Des désistements existent et les raisons sont diversement données sinon interprétées.
C’est ainsi que le greffe du Conseil constitutionnel a déjà reçu, pêle-mêle, les dossiers du président sortant, Abdoulaye Wade, de Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Macky Sall, Idrissa Seck, Doudou Ndoye, Cheikh Bamba Dièye, Youssou Ndour, Mor Dieng, Ibrahima Fall, Cheikh Tidjane Gadio, Abdourahmane Sarr et Kéba Keinde. D’autres candidats veulent transformer leur intension en acte durant la journée d’aujourd’hui (jeudi), considérée par beaucoup comme la date butoir.
source:le soleil
C’est pour ne pas être pris de court que les directoires des différents candidats se ruent actuellement vers le Conseil constitutionnel, afin de ne pas tomber dans le piège créé par ce mutisme de la loi électorale. Mais il faut, par ailleurs, dire que le jour du prononcé de la validation des candidatures, le Conseil constitutionnel devra, après vérifications, publier par arrêté la liste des candidats retenus.
Evidemment, un délai de 24 heures sera ensuite donné pour les éventuels recours de contestation. Ce ne sera qu’après la fin de ce délai de recours que la liste définitive des candidats pourra être rendue publique. Le dernier acte du juge des élections est attendu bien après les élections, avec la publication du candidat vainqueur ou des deux candidats pour le second tour de la « présidentielle ».
Pour l’heure, les différents candidats ou leurs délégués défilent devant le Conseil constitutionnel qui se doit de vérifier, amplement, les dossiers. Mais, on peut dire, d’ores et déjà, que toutes les candidatures déclarées ne seront naturellement pas de la partie, en raison des ralliements déjà observés. Des désistements existent et les raisons sont diversement données sinon interprétées.
C’est ainsi que le greffe du Conseil constitutionnel a déjà reçu, pêle-mêle, les dossiers du président sortant, Abdoulaye Wade, de Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Macky Sall, Idrissa Seck, Doudou Ndoye, Cheikh Bamba Dièye, Youssou Ndour, Mor Dieng, Ibrahima Fall, Cheikh Tidjane Gadio, Abdourahmane Sarr et Kéba Keinde. D’autres candidats veulent transformer leur intension en acte durant la journée d’aujourd’hui (jeudi), considérée par beaucoup comme la date butoir.
source:le soleil