Dans sa livraison N° 059 de la semaine du 8 au 14 août 2008, l’hebdomadaire week-end magazine avait publié une enquête de la journaliste Mame Sèye Diop sur la « vie publique et privée » de la ministre. L’enquête était intitulée à la « Une » du journal : « Les dessous de Aïda Mbodj ». La plaignante déplore dans sa plainte qu’elle ait été présentée par le journal comme une femme qui vit une vie sentimentale d’actrice de Telenovela.
La phrase : « elle aurait laissé filer sa vie amoureuse sur la mode des montages des unions calculées pour se tirer d’affaire et échapper ainsi aux contingences », l’a particulièrement choqué. Lors de l’audience, Aïda Mbodj a estimé que le contenu de l’enquête est « une expression outrageante, de mépris et d’invectives » qui portent atteinte à son honorabilité et à sa dignité. C’est pourquoi elle avait porté plainte à la Division des investigations criminelles (Dic) pour injures publiques.
Elle a réclamé 500 millions de dommages et intérêts pour laver son honneur.
Madiambal Diagne, lui, avait estimé que les poursuites initiées contre lui et ses co-prévenus sont « injustes » dans la mesure où il a porté plainte pour menace de mort contre la plaignante sans que le parquet ne réagisse.
Dans son réquisitoire, le procureur avait estimé que les faits sont établis. Il avait, en conséquence, requis trois mois ferme contre les prévenus. Le verdict qui devait être rendu le 2 juin dernier a été prorogé. Elle a finalement été rendue ce mardi 16 juin 2009.
www.sen24heures.com
La phrase : « elle aurait laissé filer sa vie amoureuse sur la mode des montages des unions calculées pour se tirer d’affaire et échapper ainsi aux contingences », l’a particulièrement choqué. Lors de l’audience, Aïda Mbodj a estimé que le contenu de l’enquête est « une expression outrageante, de mépris et d’invectives » qui portent atteinte à son honorabilité et à sa dignité. C’est pourquoi elle avait porté plainte à la Division des investigations criminelles (Dic) pour injures publiques.
Elle a réclamé 500 millions de dommages et intérêts pour laver son honneur.
Madiambal Diagne, lui, avait estimé que les poursuites initiées contre lui et ses co-prévenus sont « injustes » dans la mesure où il a porté plainte pour menace de mort contre la plaignante sans que le parquet ne réagisse.
Dans son réquisitoire, le procureur avait estimé que les faits sont établis. Il avait, en conséquence, requis trois mois ferme contre les prévenus. Le verdict qui devait être rendu le 2 juin dernier a été prorogé. Elle a finalement été rendue ce mardi 16 juin 2009.
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