Avec son look qui passe difficilement inaperçu, la jeune femme d’une trentaine d’année, a intégré le milieu artistique, depuis 1998 où elle a fait ses armes, dans le groupe de la banlieue Dakaroise «Ngalu ». Mais, le déclic dans la musique s’est annoncé avec la sortie de l’album Namel dont un des titres, «Sokhor», passe en boucle sur les écrans de télévision.
Toutefois, cet album pour la production duquel, elle dit avoir dépensé plus d’un million de francs CFA, a été mal promu. «J’ai, dans cet album, fait un mélange de genres musicaux. Je l’ai réalisé en 2010, pour qu’il sorte en 2011, malheureusement, la promotion n’a pas été à la hauteur. Mon mari en a assuré la production et on m’a mise en rapport avec «Prince Arts» qui devait assurer la promotion mais, qui ne l’a pas faite, comme il se devait et je suis rentrée, par la suite, en Suisse, rejoindre mon groupe. Et, cette fois, pour mon retour, je m’attelle à cette promotion, puisque cet album comporte plus de 10 morceaux et m’a valu beaucoup d’argent », raconte-t-elle.
Originaire de la banlieue Dakaroise, précisément, Pikine, Farmara confesse avoir d’abord, été danseuse puis choriste, avant de se lancer dans la chanson. Ce long parcours l’a fait donc côtoyer de grands musiciens, entre 2000 et 2004 : Ndongo Lo et Coumba Gawlo, avant d’intégrer un groupe helvète dans lequel, d’ailleurs, elle fera la connaissance de son mari, à l’origine du titre phare de son album «Namel».
Mamadou DIOUF
Rewmi
Toutefois, cet album pour la production duquel, elle dit avoir dépensé plus d’un million de francs CFA, a été mal promu. «J’ai, dans cet album, fait un mélange de genres musicaux. Je l’ai réalisé en 2010, pour qu’il sorte en 2011, malheureusement, la promotion n’a pas été à la hauteur. Mon mari en a assuré la production et on m’a mise en rapport avec «Prince Arts» qui devait assurer la promotion mais, qui ne l’a pas faite, comme il se devait et je suis rentrée, par la suite, en Suisse, rejoindre mon groupe. Et, cette fois, pour mon retour, je m’attelle à cette promotion, puisque cet album comporte plus de 10 morceaux et m’a valu beaucoup d’argent », raconte-t-elle.
Originaire de la banlieue Dakaroise, précisément, Pikine, Farmara confesse avoir d’abord, été danseuse puis choriste, avant de se lancer dans la chanson. Ce long parcours l’a fait donc côtoyer de grands musiciens, entre 2000 et 2004 : Ndongo Lo et Coumba Gawlo, avant d’intégrer un groupe helvète dans lequel, d’ailleurs, elle fera la connaissance de son mari, à l’origine du titre phare de son album «Namel».
Mamadou DIOUF
Rewmi