L’armada du PSG va faire ses débuts officiels en Ligue 1 ce soir face à Lorient. Un match que Jérémy Ménez n’est pas certain de débuter, puisqu’il n’est pas encore à 100 % physiquement. Peu importe pour l’international français, qui sait que Paris dispose d’un effectif suffisamment large pour affronter les aléas de la saison. Sur un plan individuel, Ménez s’est fixé quelques objectifs suite aux remarques de Carlo Ancelotti. « Il faut que je sois plus concentré tout au long du match, même si j’ai quand même beaucoup évolué sur ce plan-là. Et puis je dois être plus performant devant le but. J’ai dû mettre environ 10 buts la saison dernière mais j’en ai aussi raté pas mal. C’est ce que m’avait dit le coach en fin de saison dernière et j’en suis tout à fait conscient », a-t-il indiqué au Parisien.
Auteur d’une superbe deuxième partie de saison en 2012, Ménez a convaincu Ancelotti et semble posséder une longueur d‘avance sur Nenê pour accompagner Ibrahimovic et Lavezzi sur le front de l’attaque. Sûr de lui, il annonce qu’il compte bien obtenir un maximum de temps de jeu. « J’aime beaucoup jouer et j’ai besoin de ça. Aucun joueur n’a envie de rester sur le banc, même si parfois il faut s’y résoudre. Mais je sais très bien qu’il y aura des changements de temps en temps. J’y suis prêt. » Et ce n’est pas l’arrivée d’Ibrahimovic qui va tout remettre en cause, et ce malgré l’admiration qu’il lui porte.
« Je me souviens qu’en Italie les défenseurs avaient beaucoup de mal face à lui. Il ne perd pas beaucoup la balle et il va beaucoup nous aider à ce niveau-là. Dans la mentalité, c’est un gagneur. Et puis il a ses gestes devant le but. Je le regarde à l’entraînement, j’observe et j’essaie de progresser. Mais, sur le terrain, je ne vais pas changer mon jeu par rapport à lui. On va apprendre à se trouver comme avec Pocho (ndlr : Ezequiel Lavezzi), qui vient d’arriver », a-t-il lancé. Ce n’est d’ailleurs pas Lucas non plus qui va l’effrayer ! « Non. Lucas, à vrai dire, je ne le connais pas du tout. Même s’il vaut je ne sais pas combien, il faudra d’abord qu’il gagne sa place sur le terrain ». Voilà le Brésilien prévenu, Ménez sera difficile à déloger du terrain cette saison.
Aurélien Léger-Moëc
Auteur d’une superbe deuxième partie de saison en 2012, Ménez a convaincu Ancelotti et semble posséder une longueur d‘avance sur Nenê pour accompagner Ibrahimovic et Lavezzi sur le front de l’attaque. Sûr de lui, il annonce qu’il compte bien obtenir un maximum de temps de jeu. « J’aime beaucoup jouer et j’ai besoin de ça. Aucun joueur n’a envie de rester sur le banc, même si parfois il faut s’y résoudre. Mais je sais très bien qu’il y aura des changements de temps en temps. J’y suis prêt. » Et ce n’est pas l’arrivée d’Ibrahimovic qui va tout remettre en cause, et ce malgré l’admiration qu’il lui porte.
« Je me souviens qu’en Italie les défenseurs avaient beaucoup de mal face à lui. Il ne perd pas beaucoup la balle et il va beaucoup nous aider à ce niveau-là. Dans la mentalité, c’est un gagneur. Et puis il a ses gestes devant le but. Je le regarde à l’entraînement, j’observe et j’essaie de progresser. Mais, sur le terrain, je ne vais pas changer mon jeu par rapport à lui. On va apprendre à se trouver comme avec Pocho (ndlr : Ezequiel Lavezzi), qui vient d’arriver », a-t-il lancé. Ce n’est d’ailleurs pas Lucas non plus qui va l’effrayer ! « Non. Lucas, à vrai dire, je ne le connais pas du tout. Même s’il vaut je ne sais pas combien, il faudra d’abord qu’il gagne sa place sur le terrain ». Voilà le Brésilien prévenu, Ménez sera difficile à déloger du terrain cette saison.
Aurélien Léger-Moëc