Faut-il se fier aux enseignements tirés des matches de pré-saison ? Si oui, alors Carlo Ancelotti pense sûrement que Javier Pastore fera une grande saison au PSG. Car depuis le mois de juillet, c’est un Argentin transfiguré qui gambade sur les terrains. Positionné plus bas sur le rectangle vert, il a obtenu un temps de jeu considérable, disputant trois fois 90 minutes sur les cinq matches amicaux du PSG (60 minutes et 45 minutes pour les deux autres rencontres). Alors que sa nonchalance et son apparent manque d’envie avaient agacé la saison dernière, il a affiché depuis la reprise un visage bien plus conquérant, bien aidé par un physique enfin au point.
Mais pour lui, il n’est pas question là de revanche sur les critiques entendues lors de l’exercice précédent. « Sûrement pas. J’ai connu ça à Huracan et à Palerme. Partout, on m’a sifflé à un moment donné à cause de ma façon de jouer. Mais si j’avais pu mieux me préparer l’été dernier, je n’aurais pas eu ces creux. Je n’étais pas bien physiquement, j’avais du mal à me déplacer avec ou sans le ballon. Cet été, heureusement, j’ai pu faire une préparation complète. Le staff m’a vu à un niveau supérieur. Je suis plus tranquille aujourd’hui », a-t-il expliqué à L’Équipe. À l’image de sa fin de rencontre très tranchante face au FC Barcelone, Pastore est capable aujourd’hui de répéter les efforts à un rythme bien plus élevé.
Du coup, il affiche des ambitions très élevées pour le PSG, enchanté par la qualité du recrutement estival. « Cette saison, si nous travaillons et que nous tirons dans le même sens, on peut gagner les trois titres : le championnat et les deux Coupes Nous avons une grande équipe En Ligue des Champions, l’objectif sera d’atteindre les huitièmes de finale. Accéder en quarts serait magnifique », a-t-il lancé. « Pour cela, il compte sur tout le monde, et même sur Nenê. C’était notre meilleur joueur. C’est un vrai buteur, un joueur qui sait faire la différence. On a besoin de lui ». Peut-être pas encore assez au goût de Nenê…
Aurélien Léger-Moëc
Mais pour lui, il n’est pas question là de revanche sur les critiques entendues lors de l’exercice précédent. « Sûrement pas. J’ai connu ça à Huracan et à Palerme. Partout, on m’a sifflé à un moment donné à cause de ma façon de jouer. Mais si j’avais pu mieux me préparer l’été dernier, je n’aurais pas eu ces creux. Je n’étais pas bien physiquement, j’avais du mal à me déplacer avec ou sans le ballon. Cet été, heureusement, j’ai pu faire une préparation complète. Le staff m’a vu à un niveau supérieur. Je suis plus tranquille aujourd’hui », a-t-il expliqué à L’Équipe. À l’image de sa fin de rencontre très tranchante face au FC Barcelone, Pastore est capable aujourd’hui de répéter les efforts à un rythme bien plus élevé.
Du coup, il affiche des ambitions très élevées pour le PSG, enchanté par la qualité du recrutement estival. « Cette saison, si nous travaillons et que nous tirons dans le même sens, on peut gagner les trois titres : le championnat et les deux Coupes Nous avons une grande équipe En Ligue des Champions, l’objectif sera d’atteindre les huitièmes de finale. Accéder en quarts serait magnifique », a-t-il lancé. « Pour cela, il compte sur tout le monde, et même sur Nenê. C’était notre meilleur joueur. C’est un vrai buteur, un joueur qui sait faire la différence. On a besoin de lui ». Peut-être pas encore assez au goût de Nenê…
Aurélien Léger-Moëc
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