Depuis le début de la saison, Zlatan Ibrahimovic (31 ans) nous avait montré son côté buteur avec 12 unités toutes compétitions confondues. Hier, contre le Dinamo Zagreb (4-0, 4e journée de C1), le Suédois a sorti son costume de passeur pour mettre en valeur ses coéquipiers du Paris SG avec 4 offrandes à la clé, une performance que seuls trois autres joueurs avaient réalisé avant lui en Ligue des Champions. Positionné en meneur de jeu derrière la doublette Jérémy Ménez-Ezequiel Lavezzi, il a une nouvelle fois prouvé à quel point sa palette est large et variée. Pour le plus grand plaisir de Carlo Ancelotti.
« Ibra ? Il a joué pour l’équipe comme il sait le faire. Il peut jouer en numéro 10, grâce à sa qualité de passe. C’est ce qui fait la différence entre un grand joueur et un champion. Et Ibra est un champion », a lancé le technicien italien à l’issue de la rencontre. Le Scandinave, lui, s’est montré plutôt mesuré en zone mixte. « Je me sens bien. On a gagné. (...) J’ai joué plutôt en meneur de jeu, c’est vrai, mais ce n’est pas un problème. Personnellement, j’essaie d’aider mon équipe en marquant des buts. Quand je ne peux pas le faire, j’essaie de faire marquer mes coéquipiers. Ça me fait plaisir », a-t-il glissé.
En l’espace d’un match, l’ancien Milanais a déjà fait oublier son expulsion de samedi dernier contre l’AS Saint-Étienne (1-2, 11e journée de L1). La force des grands joueurs. Et alors que le meneur de jeu attitré du club de la capitale Javier Pastore peine à trouver sa place dans le onze parisien, Ibra pourrait bien devenir sur la durée le nouveau maître à jouer des Rouge-et-Bleu... Capable de tout bien faire, Zlatan Ibrahimovic est plus que jamais indispensable à un Paris SG toujours à la recherche d’une belle expression collective sur la durée.
Alexis Pereira
« Ibra ? Il a joué pour l’équipe comme il sait le faire. Il peut jouer en numéro 10, grâce à sa qualité de passe. C’est ce qui fait la différence entre un grand joueur et un champion. Et Ibra est un champion », a lancé le technicien italien à l’issue de la rencontre. Le Scandinave, lui, s’est montré plutôt mesuré en zone mixte. « Je me sens bien. On a gagné. (...) J’ai joué plutôt en meneur de jeu, c’est vrai, mais ce n’est pas un problème. Personnellement, j’essaie d’aider mon équipe en marquant des buts. Quand je ne peux pas le faire, j’essaie de faire marquer mes coéquipiers. Ça me fait plaisir », a-t-il glissé.
En l’espace d’un match, l’ancien Milanais a déjà fait oublier son expulsion de samedi dernier contre l’AS Saint-Étienne (1-2, 11e journée de L1). La force des grands joueurs. Et alors que le meneur de jeu attitré du club de la capitale Javier Pastore peine à trouver sa place dans le onze parisien, Ibra pourrait bien devenir sur la durée le nouveau maître à jouer des Rouge-et-Bleu... Capable de tout bien faire, Zlatan Ibrahimovic est plus que jamais indispensable à un Paris SG toujours à la recherche d’une belle expression collective sur la durée.
Alexis Pereira