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Dans la région de Kolda, certains paysans n'hésitent pas de s'adonner à la culture et à la vente du chanvre indien et du cannabis, malgré les lourdes sanctions pénales qu'ils encourent. Dans cette partie sud du pays, le trafic de l'herbe qui "tue" est devenu une activité lucrative et tente la plupart des populations.
C'est le cas de Koumpébé, village de la commune de Paroumba dans le département de Vélingara. Dans cette localité frontière avec la Guinée Bissau, la drogue se vend comme du petit pain. Les sieurs Amadou Balde et Souleymane Boiro y tenaient chacun deux champs de cannabis, jusqu'à la visite des gendarmes de la brigade de Pakour. Les pandores y ont saisi 80 pieds de cannabis fraîchement arrachés.
Par contre, les deux paysans ont pu échapper aux éléments du commandant d'Abdoulaye Wade de la brigade de gendarmerie de Pakour. En effet, dans cette partie de la région, l’absence de collaboration des populations, le manque d'information et l’accès difficile dans cette zone constituent un frein au travail des forces de l'ordre.
Les habitants restent sourds aux demandes de collaboration des forces de l'ordre."La drogue est notre ennemie commune. Elle sévit dans notre région et elle est en train de détruire notre jeunesse surtout nos élèves, puisqu'elle est vendue dans certains établissements secondaires", confit Mamadou Baldé, enseignant dans la localité.
Source Enquête
C'est le cas de Koumpébé, village de la commune de Paroumba dans le département de Vélingara. Dans cette localité frontière avec la Guinée Bissau, la drogue se vend comme du petit pain. Les sieurs Amadou Balde et Souleymane Boiro y tenaient chacun deux champs de cannabis, jusqu'à la visite des gendarmes de la brigade de Pakour. Les pandores y ont saisi 80 pieds de cannabis fraîchement arrachés.
Par contre, les deux paysans ont pu échapper aux éléments du commandant d'Abdoulaye Wade de la brigade de gendarmerie de Pakour. En effet, dans cette partie de la région, l’absence de collaboration des populations, le manque d'information et l’accès difficile dans cette zone constituent un frein au travail des forces de l'ordre.
Les habitants restent sourds aux demandes de collaboration des forces de l'ordre."La drogue est notre ennemie commune. Elle sévit dans notre région et elle est en train de détruire notre jeunesse surtout nos élèves, puisqu'elle est vendue dans certains établissements secondaires", confit Mamadou Baldé, enseignant dans la localité.
Source Enquête