En effet, dans la journée du vendredi 25 mai 2012, un groupe composé d’une vingtaine de personne, activistes réputés et reconnus du polisario, a envahi les locaux de la représentation diplomatique marocaine pour la saccager, brutaliser son personnel et les citoyens marocains ou étrangers présents, tout en scandant des slogans séparatistes
Dans leur lâcheté, les assaillants ont pris la fuite avant que les forces de sécurité espagnoles ne puissent intervenir sur les lieux. Cependant, un d’entre eux a pu être interpellé et interrogé.
Cette attaque, appuyée par des espagnols, a été fermement condamnée par le gouvernement marocain mais aussi par le gouvernement espagnol et la population de Palma de Majorque. Les autorités locales ont assuré le Maroc qu’une enquête sera ouverte et que les auteurs seront traduits devant la justice et fermement condamnés.
Défiant toutes les conventions en matière de droits internationales, ces voyous du polisario, sur commandite du régime algérien, viennent de prouver une nouvelle fois leur déprime et celui de l’Algérie mais aussi d’insulter les conventions internationales en matière diplomatique.
S’agissant de la déprime algérienne et polisarienne, de nombreuses informations font état que leurs dirigeants seraient dans une situation de forte angoisse et atteint du syndrome Rajoy qui ne les porte dans son cœur.
Une angoisse accentuée avec la récente visite du Roi du Maroc en France, la dernière résolution du Conseil de Sécurité sur le Sahara marocain et le carton rouge délivré à Monsieur Ross par Rabat.
Une situation d’angoisse aggravée par les problèmes internes en Algérie suite aux élections législatives. Des législatives au cours desquelles la DRS a montré toute son expertise et professionnalisme en matière de fraude. Une expertise et un professionnalisme que ceux de l’ex-KGB ou de la STASI voudraient apprendre.
Une fraude parfaite que nul ne peut contester. D’ailleurs, l’installation de la nouvelle assemblée nationale élue le 10 mai en Algérie a été perturbée par des députés islamistes de l'Alliance de l'Algérie Verte (AVV) qui ont quitté l'hémicycle pour dénoncer cette mascarade d’élection en faveur des partis au pouvoir.
Les 49 députés de AVV ont brandi, à la fin de l'appel des 462 membres de la chambre basse du Parlement, des pancartes rouges sur lesquelles était écrit "Non à la fraude" avant de partir.
Ils ont été suivis par les 28 députés membres du Front politique pour la sauvegarde de la démocratie, dont quatre islamistes, lancé au lendemain de la proclamation des résultats du scrutin du 10 mai pour dénoncer la fraude. Huit partis membres du front n'ont pas remporté de siège à l'Assemblée Nationale.
L'AVV, regroupant le Mouvement pour la société et la paix (MSP), Ennahda (Renaissance) et Mouvement El Islah (Réforme), avaient annoncé leur victoire avant même le scrutin et avaient même préparé leur gouvernement.
De plus, une manifestation organisée à Kouba le 25 mai 2012, quartier d’Alger, conduite par Ali Belhadj, fustigeant la fraude électorale à grande échelle a été brutalement dispersée par les services de sécurité. Ces derniers ont procédé à l’interpellation de dizaines de manifestant dont Belhadj.
Il est donc clair, que le régime algérien et la mafia militaro-financière, avec ses larbins du polisario, tentent de sauver les meubles en externalisant un problème de politique intérieure auquel elle ne pourra y échapper.
L’heure des comptes est pour bientôt et seront salés. Les Algériens, notamment le peuple Kabyle, ne sont pas dupes, ils ont tous compris. La communauté internationale aussi et l’incident de Palma de Majorque n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Dans leur lâcheté, les assaillants ont pris la fuite avant que les forces de sécurité espagnoles ne puissent intervenir sur les lieux. Cependant, un d’entre eux a pu être interpellé et interrogé.
Cette attaque, appuyée par des espagnols, a été fermement condamnée par le gouvernement marocain mais aussi par le gouvernement espagnol et la population de Palma de Majorque. Les autorités locales ont assuré le Maroc qu’une enquête sera ouverte et que les auteurs seront traduits devant la justice et fermement condamnés.
Défiant toutes les conventions en matière de droits internationales, ces voyous du polisario, sur commandite du régime algérien, viennent de prouver une nouvelle fois leur déprime et celui de l’Algérie mais aussi d’insulter les conventions internationales en matière diplomatique.
S’agissant de la déprime algérienne et polisarienne, de nombreuses informations font état que leurs dirigeants seraient dans une situation de forte angoisse et atteint du syndrome Rajoy qui ne les porte dans son cœur.
Une angoisse accentuée avec la récente visite du Roi du Maroc en France, la dernière résolution du Conseil de Sécurité sur le Sahara marocain et le carton rouge délivré à Monsieur Ross par Rabat.
Une situation d’angoisse aggravée par les problèmes internes en Algérie suite aux élections législatives. Des législatives au cours desquelles la DRS a montré toute son expertise et professionnalisme en matière de fraude. Une expertise et un professionnalisme que ceux de l’ex-KGB ou de la STASI voudraient apprendre.
Une fraude parfaite que nul ne peut contester. D’ailleurs, l’installation de la nouvelle assemblée nationale élue le 10 mai en Algérie a été perturbée par des députés islamistes de l'Alliance de l'Algérie Verte (AVV) qui ont quitté l'hémicycle pour dénoncer cette mascarade d’élection en faveur des partis au pouvoir.
Les 49 députés de AVV ont brandi, à la fin de l'appel des 462 membres de la chambre basse du Parlement, des pancartes rouges sur lesquelles était écrit "Non à la fraude" avant de partir.
Ils ont été suivis par les 28 députés membres du Front politique pour la sauvegarde de la démocratie, dont quatre islamistes, lancé au lendemain de la proclamation des résultats du scrutin du 10 mai pour dénoncer la fraude. Huit partis membres du front n'ont pas remporté de siège à l'Assemblée Nationale.
L'AVV, regroupant le Mouvement pour la société et la paix (MSP), Ennahda (Renaissance) et Mouvement El Islah (Réforme), avaient annoncé leur victoire avant même le scrutin et avaient même préparé leur gouvernement.
De plus, une manifestation organisée à Kouba le 25 mai 2012, quartier d’Alger, conduite par Ali Belhadj, fustigeant la fraude électorale à grande échelle a été brutalement dispersée par les services de sécurité. Ces derniers ont procédé à l’interpellation de dizaines de manifestant dont Belhadj.
Il est donc clair, que le régime algérien et la mafia militaro-financière, avec ses larbins du polisario, tentent de sauver les meubles en externalisant un problème de politique intérieure auquel elle ne pourra y échapper.
L’heure des comptes est pour bientôt et seront salés. Les Algériens, notamment le peuple Kabyle, ne sont pas dupes, ils ont tous compris. La communauté internationale aussi et l’incident de Palma de Majorque n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.