« La situation de l'ex maire de Dakar suscite en nous des commentaires de nature juridique : le préfet a appliqué la loi selon les dispositions du code électoral (l29,l30 l277) et le droit a été dit par la cour d’appel ; en attendant la décision de la cour suprême qui en dernier ressort nous lie . Contrairement aux actes de l'ex maire, qui n'a cessé d'être dans la provocation. Des comportements anti - républicains regrettables d'un citoyen, de surcroît ayant occupé de hautes fonctions.
De nature politique : Le Sénégal a connu en 2024, une rupture profonde dans la gestion du pays. Et c'est bien heureux que l'institution municipale puisse avoir la possibilité de changer d'orientation de gouvernance politique. En effet, toutes les politiques économiques et sociales devront dorénavant s'adosser à la nouvelle référence du pays (l’agenda national de transformation 2050) », dixit M. Pape Alioune Gningue.
Concernant les JO 2026, M. Gningue soutient : « Je constate avec le conseil municipal, les incohérences soutenues par l'ex maire : les jeux olympiques à l'instar de la coupe du monde, restent une propriété exclusive du CIO. Les fédérations faîtières n'ont pas vocation à construire des infrastructures. Ceci semble être ignoré par mon concitoyen Barthélémy ».
Il renchérit : « sur les engagements institutionnels, seul l'ETAT du Sénégal a matérialisé son contrat d'engagement et d'hôte à hauteur de 35milliards (soit 60 millions de dollars) ; le reste du budget global de 171 millions de dollars est supporté à 52% (90millions de dollars) par le CIO. Sur le défi organisationnel et l'impact des jeux : On retiendra les rénovations des infrastructures sportives (Stade Léopold Sédar Senghor, Stade Iba Mar Diop , piscine olympique, stade de Hann, médina, Mermoz,.....).
Dakar va accueillir plus de deux cents (200) délégations et 2700 athlètes, avec le recrutement de 6000 milles jeunes dans l'organisation des JO2026.Le Comité international Olympique (CIO) a engagé près de 4miliards dans la préparation des jeunes athlètes sénégalais dans les 25 disciplines sportives retenues ».
Il se déclare candidat à la succession de Barthélémy Dias et n’a pas manqué de faire des propositions. Et M. Gningue de poursuivre : « Je propose une rupture sur les priorités et la restructuration du budget vers les secteurs les plus vulnérables. Pour ce mandat de transition (2025/2027), un audit interne du personnel et des finances publiques reste primordial pour une bonne gestion des ressources à tous les niveaux. Mes axes programmatiques seront tournés vers la mobilité urbaine, le financement vert et le changement climatique pour garantir aux dakarois un cadre de vie d'une capitale moderne à l'instar des plus belles villes du monde. Nous mettrons en place un COPIL ouvert aux différents maires des communes pour une démocratisation et diversification des projets de la ville ; afin de corriger toutes les carences notées. L'arrêt du projet des toilettes publiques sera ma première mesure dès mon élection ».
Sur la situation de la Mairie, M. Gningue souligne : « La ville de Dakar est une institution endettée auprès des différents partenaires. Une ville qui a perdu la confiance de ses administrés et de son partenaire stratégique : l'ETAT du Sénégal. D’où l'impérieuse nécessité pour ce mandat de transition de bâtir un principe de coopération avec le gouvernement du président Diomaye Faye, plus de transparence dans les projets. Garantir une justice sociale pour les travailleurs et une implication du conseil municipal dans les missions de représentation ».
De nature politique : Le Sénégal a connu en 2024, une rupture profonde dans la gestion du pays. Et c'est bien heureux que l'institution municipale puisse avoir la possibilité de changer d'orientation de gouvernance politique. En effet, toutes les politiques économiques et sociales devront dorénavant s'adosser à la nouvelle référence du pays (l’agenda national de transformation 2050) », dixit M. Pape Alioune Gningue.
Concernant les JO 2026, M. Gningue soutient : « Je constate avec le conseil municipal, les incohérences soutenues par l'ex maire : les jeux olympiques à l'instar de la coupe du monde, restent une propriété exclusive du CIO. Les fédérations faîtières n'ont pas vocation à construire des infrastructures. Ceci semble être ignoré par mon concitoyen Barthélémy ».
Il renchérit : « sur les engagements institutionnels, seul l'ETAT du Sénégal a matérialisé son contrat d'engagement et d'hôte à hauteur de 35milliards (soit 60 millions de dollars) ; le reste du budget global de 171 millions de dollars est supporté à 52% (90millions de dollars) par le CIO. Sur le défi organisationnel et l'impact des jeux : On retiendra les rénovations des infrastructures sportives (Stade Léopold Sédar Senghor, Stade Iba Mar Diop , piscine olympique, stade de Hann, médina, Mermoz,.....).
Dakar va accueillir plus de deux cents (200) délégations et 2700 athlètes, avec le recrutement de 6000 milles jeunes dans l'organisation des JO2026.Le Comité international Olympique (CIO) a engagé près de 4miliards dans la préparation des jeunes athlètes sénégalais dans les 25 disciplines sportives retenues ».
Il se déclare candidat à la succession de Barthélémy Dias et n’a pas manqué de faire des propositions. Et M. Gningue de poursuivre : « Je propose une rupture sur les priorités et la restructuration du budget vers les secteurs les plus vulnérables. Pour ce mandat de transition (2025/2027), un audit interne du personnel et des finances publiques reste primordial pour une bonne gestion des ressources à tous les niveaux. Mes axes programmatiques seront tournés vers la mobilité urbaine, le financement vert et le changement climatique pour garantir aux dakarois un cadre de vie d'une capitale moderne à l'instar des plus belles villes du monde. Nous mettrons en place un COPIL ouvert aux différents maires des communes pour une démocratisation et diversification des projets de la ville ; afin de corriger toutes les carences notées. L'arrêt du projet des toilettes publiques sera ma première mesure dès mon élection ».
Sur la situation de la Mairie, M. Gningue souligne : « La ville de Dakar est une institution endettée auprès des différents partenaires. Une ville qui a perdu la confiance de ses administrés et de son partenaire stratégique : l'ETAT du Sénégal. D’où l'impérieuse nécessité pour ce mandat de transition de bâtir un principe de coopération avec le gouvernement du président Diomaye Faye, plus de transparence dans les projets. Garantir une justice sociale pour les travailleurs et une implication du conseil municipal dans les missions de représentation ».