Pape Diouf est formel. Sous les feux des projecteurs depuis son dernier anniversaire, le « grand begué » où il avait à lui tout seul rempli comme un oeuf la grande salle de spectacle du grand théâtre, le leader de la génération consciente refuse catégoriquement l’étiquette de « Roi du Mbalakh » qu’on lui colle.
S’exprimant sur la question l’auteur de « Begué » a fait savoir à qui veut l’entendre qu’il est encore très loin de ce statut et qu’il continue toujours son apprentissage d’autant qu’il y’a d’autres musciens plus talentueux qui méritent plus de porter le titre de Roi du Mbalakh.
« Je ne suis pas le Roi du Mbalakh, je suis le talibé des musiciens », a t-il concédé modestement tout dernièrement dans une émission sur la Tfm.
Senego.com
S’exprimant sur la question l’auteur de « Begué » a fait savoir à qui veut l’entendre qu’il est encore très loin de ce statut et qu’il continue toujours son apprentissage d’autant qu’il y’a d’autres musciens plus talentueux qui méritent plus de porter le titre de Roi du Mbalakh.
« Je ne suis pas le Roi du Mbalakh, je suis le talibé des musiciens », a t-il concédé modestement tout dernièrement dans une émission sur la Tfm.
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