LERAL.NET "Je suis triste, j'ai tout perdu et je ne vois plus mon fils", disait la maman de ce petit garçon de Sibassor, dont on entendait, à longueur de journée, la fameuse chanson "sama yaye dama beugue diangui l'école", et qui a fini dans les bistrots. Ce qui est dommage pour quelqu'un qui rêvait d'aller à l'école. C'est un danger similaire qui guette Pape Moussa Sonko, mais surtout son petit rejeton de moins de 10 ans qu'il a mis sur le feu de la rampe. A vouloir coûte-que-coûte faire de son enfant un poisson, on risque de le noyer".