elon Me Madické Niang dont la déclaration a été retransmise par la Rts, c’est suite à un « avis confirmatif » du Conseil supérieur de la magistrature (Csm) que le Président Wade a pris la décision, en sa qualité de Président de ladite organisation de magistrats. Me Madické Niang a aussi ajouté que Abdoulaye Gaye qui était Procureur général à la cour de Cassation qui a été nommé Procureur général de la future cour suprême.
Madické Niang qui a déclaré que des nominations devraient prochainement intervenir pour pourvoir les tribunaux de première instance, a défendu la réforme intervenue avec la création de la cour suprême, supprimée sous Diouf en 1992. « La Réforme de 1992 a fait son temps. Il fallait que la Justice ait son chef », a-t-il confié à la Rts. "Chose désormais faite" avec la nomination de Pape Omar Sakho.
Le 23 janvier 2008, lors de l’audience solennelle de rentrée des Cours et tribunaux, Me Wade avait annoncé les grandes réformes de la Justice validées par la suite par l’Assemblée nationale. « Le souci d’efficacité plaide en faveur d’un regroupement de la Cour de Cassation et du Conseil d’Etat en une seule entité. Les autorités politiques sont obligées de prendre en compte la rapidité et la réduction des coûts en tant que critères de choix dans le fonctionnement de la justice », avait déclaré Me Abdoulaye Wade.
C’est en 1992 que la dernière réforme judiciaire avait donné naissance à la Cour de Cassation, au Conseil d’Etat et au Conseil Constitutionnel. La réforme du système judiciaire sénégalais de 1992, communément appelée ‘Réforme Kéba Mbaye’, qui a vu l’éclatement de l’ancienne Cour suprême en plusieurs juridictions que sont le Conseil constitutionnel, la Cour de cassation, le Conseil d’Etat et la Cour des comptes, avait été saluée à l’époque comme étant une avancée significative qui répondait aux exigences de l’heure.
Madické Niang qui a déclaré que des nominations devraient prochainement intervenir pour pourvoir les tribunaux de première instance, a défendu la réforme intervenue avec la création de la cour suprême, supprimée sous Diouf en 1992. « La Réforme de 1992 a fait son temps. Il fallait que la Justice ait son chef », a-t-il confié à la Rts. "Chose désormais faite" avec la nomination de Pape Omar Sakho.
Le 23 janvier 2008, lors de l’audience solennelle de rentrée des Cours et tribunaux, Me Wade avait annoncé les grandes réformes de la Justice validées par la suite par l’Assemblée nationale. « Le souci d’efficacité plaide en faveur d’un regroupement de la Cour de Cassation et du Conseil d’Etat en une seule entité. Les autorités politiques sont obligées de prendre en compte la rapidité et la réduction des coûts en tant que critères de choix dans le fonctionnement de la justice », avait déclaré Me Abdoulaye Wade.
C’est en 1992 que la dernière réforme judiciaire avait donné naissance à la Cour de Cassation, au Conseil d’Etat et au Conseil Constitutionnel. La réforme du système judiciaire sénégalais de 1992, communément appelée ‘Réforme Kéba Mbaye’, qui a vu l’éclatement de l’ancienne Cour suprême en plusieurs juridictions que sont le Conseil constitutionnel, la Cour de cassation, le Conseil d’Etat et la Cour des comptes, avait été saluée à l’époque comme étant une avancée significative qui répondait aux exigences de l’heure.