Les témoignages sont unanimes, «toute la famille dit qu’elle est la plus polie». «Machallah-Inchallah» (C'est joli, c'est beau, c'est bien...pour Machallah), "Si Dieu le veut pour Inchallah) étaient des refrains dans sa bouche. Partie à la fleur de l’âge à 25 ans, «Zeynouch» pour «Papou » a quitté le Sénégal un matin de novembre 2012 pour aller au Maroc pour y entamer une carrière de «téléopératrice», après avoir obtenu son baccalauréat à ITECOM et subie une formation en esthétique. Ils se sont entretenus dans la nuit du dimanche 5 avril, la veille du drame, «Papou» raconte ce dernier coup de fil :
«On s’est très longuement entretenus. On s’est fait plein de bisous, elle m’a appelé «Papou», je l’ai appelé «Zeynouch», on s’est souhaités bonne nuit en se donnant rendez-vous pour un prochain coup de fil…C’était vraiment très fort». C’est ainsi que lorsque la « bombe » est tombée, «Papou» est restée longtemps prostré sur son siège. Il n’y croyait pas. Mais souligne le "père éploré": «Elle s'est plainte de toux du fait de la fatigue ou de la grippe », disait-elle. Et «elle ne voulait pas en parler à sa maman car ne voulant pas l’inquiéter outre mesure». Aux côtés des sœurs Gueye, Seynabou Ndoye s’en est allée mardi dernier au Maroc. «Depuis lors nous soutenons tous ta maman qui reste inconsolable tout comme moi », pleure «Papou».
Dié BA pressafrik.com
«On s’est très longuement entretenus. On s’est fait plein de bisous, elle m’a appelé «Papou», je l’ai appelé «Zeynouch», on s’est souhaités bonne nuit en se donnant rendez-vous pour un prochain coup de fil…C’était vraiment très fort». C’est ainsi que lorsque la « bombe » est tombée, «Papou» est restée longtemps prostré sur son siège. Il n’y croyait pas. Mais souligne le "père éploré": «Elle s'est plainte de toux du fait de la fatigue ou de la grippe », disait-elle. Et «elle ne voulait pas en parler à sa maman car ne voulant pas l’inquiéter outre mesure». Aux côtés des sœurs Gueye, Seynabou Ndoye s’en est allée mardi dernier au Maroc. «Depuis lors nous soutenons tous ta maman qui reste inconsolable tout comme moi », pleure «Papou».
Dié BA pressafrik.com