En tout cas, le tribunal des flagrants délits a estimé hier, ses accusations trop légères pour condamner son fils qu’elle poursuit "pour menace de mort et injures publiques". Il l’a relaxé au bénéfice du doute. Et pas contente de ce verdict, la mère a tenu à dire au tribunal « mbirmi jeexul dinguèma jisaat leegui », (l’affaire n’est close, vous me reverrez bien encore). Parce que ce qu’elle cherchait n’est pas la condamnation en prison de son fils aîné, mais que le tribunal le chasse de la maison et l’interdise d’y reposer pied. Ce que le juge n’a pas fait.
En effet, d’après la maman, son fils l’a menacée de mort et injuriée devant toute la famille. Mais le prévenu la regarde droit dans les yeux et répond : « Comment pouvez-vous comprendre que le fils aîné de la famille que je suis puisse menacer de mort ma propre mère et l’injurier. Ecouter, je suis chez moi, mais on ne veut pas de moi là bas. Or, je ne peux avoir plus de paix ailleurs que chez moi ». Le prévenu explique que tout est parti de l’utilisation de la lumière à la maison. Un jour, il s’est levé à 6 heures du matin. Mais au moment où il faut se laver dans les toilettes, sa maman est venue éteindre la lampe dont l’interrupteur se trouver à l’extérieur des toilettes. A la sortie de la salle de bain, il a prié sa mère de ne plus éteindre la lumière quand il se lave, car les toilettes n’ont pas de fenêtres pour s’éclairer à la lumière ambiante. Mais comme réponse, la mère est partie à la police qui a cueilli manu militari, Ibrahima "pour injures publique et menaces de morts à ascendance". Mais le tribunal n’y a pas cru.
Amphal AIDARA ferloo.com
En effet, d’après la maman, son fils l’a menacée de mort et injuriée devant toute la famille. Mais le prévenu la regarde droit dans les yeux et répond : « Comment pouvez-vous comprendre que le fils aîné de la famille que je suis puisse menacer de mort ma propre mère et l’injurier. Ecouter, je suis chez moi, mais on ne veut pas de moi là bas. Or, je ne peux avoir plus de paix ailleurs que chez moi ». Le prévenu explique que tout est parti de l’utilisation de la lumière à la maison. Un jour, il s’est levé à 6 heures du matin. Mais au moment où il faut se laver dans les toilettes, sa maman est venue éteindre la lampe dont l’interrupteur se trouver à l’extérieur des toilettes. A la sortie de la salle de bain, il a prié sa mère de ne plus éteindre la lumière quand il se lave, car les toilettes n’ont pas de fenêtres pour s’éclairer à la lumière ambiante. Mais comme réponse, la mère est partie à la police qui a cueilli manu militari, Ibrahima "pour injures publique et menaces de morts à ascendance". Mais le tribunal n’y a pas cru.
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