‘’Pour nous, c’est une élection d’un président du Sénégal. Nous estimons que la tradition de la démocratie sénégalaise est suffisamment forte pour que nous n’ayons pas à intervenir en donneur de leçon’’, a déclaré M. Valéro, dans une interview parue dans le quotidien privé sénégalais Walfadji.
Toutefois, il a indiqué que la responsabilité de la France ‘’était d’exiger (…) de respecter la démocratie’’, comme l’ont fait l’Union européenne et les Etats-Unis.
‘’Cela veut dire : pas de violence, l’acceptation de perdre. A cet égard, la reconnaissance de sa défaite par le président Wade, le soir même de l’élection, a été une illustration supplémentaire de cette tradition démocratique sénégalaise. Nous avons tout suivi avec beaucoup d’attention, mais en laissant la responsabilité exclusive du processus aux Sénégalais’’, a-t-il expliqué.
Selon lui, le souhait de la France est que ‘’les législatives de juillet se passent bien, comme lors de la présidentielle’’.
SOURCE:APS
Toutefois, il a indiqué que la responsabilité de la France ‘’était d’exiger (…) de respecter la démocratie’’, comme l’ont fait l’Union européenne et les Etats-Unis.
‘’Cela veut dire : pas de violence, l’acceptation de perdre. A cet égard, la reconnaissance de sa défaite par le président Wade, le soir même de l’élection, a été une illustration supplémentaire de cette tradition démocratique sénégalaise. Nous avons tout suivi avec beaucoup d’attention, mais en laissant la responsabilité exclusive du processus aux Sénégalais’’, a-t-il expliqué.
Selon lui, le souhait de la France est que ‘’les législatives de juillet se passent bien, comme lors de la présidentielle’’.
SOURCE:APS