De grands défenseurs du parti sont devenus aphones, se limitant à des déclarations ambigües qu’explique leur mise à l’écart.
Des maîtres chanteurs montent au créneau et pointent le doigt vers Wade :
« C’est notre leader ou le chaos » disent en chœur les partisans de Baldé. « Attention, c’est moi ou le chaos » crient Abdou Fall et Mamadou Sidibé dans les radios que décide de bouder le patron des radios, Guirassy fils.
Les profiteurs se positionnent et promettent à Wade, la victoire au premier tour.
Tout le monde entonne ce refrain et le seul à y croire et qui déploie force et énergie en vue de sa réalisation, est bien le Président Wade.
Ceux qu’il a enrichis pendant 10 ans, sont soit en face de lui, soit en posture de départ vers d’autres horizons où ils nieront leur fidélité à Wade pour y embrasser les pieds du nouvel élu.
Les deux mamelles nouricières de la fronde contre Wade sont le PDS et ses alliés des vingt cinquième heures.
Du nord au sud du Sénégal, les militants du PDS se déchirent dans leurs instances, au sein de leurs permanences. Une fois dehors, plus de PDS ! Dans mon quartier, qui est celui du président et de sa famille, point de militants PDS qui arpentent les rues.
Le siège de Karim Wade est comme une maison hantée que ne fréquentent que les vieilles femmes et les jeunes désoeuvrés.
Les responsables du PDS sont « protégés » du peuple par une armée de nervis, l’insulte à la bouche. Il est devenu plus aisé de rencontrer Wade que ces nantis, riches comme Crésus. Et pourtant, pas un centime ne glisse de leurs mains vers le peuple. Il n’y a qu’un seul homme généreux au PDS, avec l’argent du peuple : Maître Abdoulaye Wade.
Tous ceux qui sont avec et autour d’Abdoulaye Wade et de sa famille, s’enrichissent outre mésure. C’est là que s’explique leur soutien à la candidature de Wade à un troisème mandat anticonstitutionnel. Wade au pouvoir est pour eux, un enrichissement certain.
Les rats qui entourent Wade sont aussi ces alliés des vingt cinquième heures, arrivés aux côtés de Wade quand tout était fini.
Djibo Kâ, Cheikh Tidiane Sy, Ousmane Ngom, Doudou Ndir, Iba Der Thiam, Aïda Mbodj, Sada Ndiaye, Adama Sall et tous ceux qui ont été vomis par le parti socilaliste au lendemain de l’alternance.
Bien logés par le SOPI, répus et engraissés, ils préparent l’alternance de l’alternance car ils sont toujours du côté du vainqueur. Pour le moment, ils constituent les contre valeurs avec lesquelles, Wade veut gagner au premier tour s’il vous plait.
Cette fois-ci, les seuls djinns sénégalais seront incapables d’assurer à Wade la victoire qu’il escompte. C’est avec tristesse que l’on voit, faute de combattants disponibles, le premier ministre débouller tête baissée dans une radio de la place et dire que Wade n’a pas besoin de consignes de vote, que l’excellent écrivain Mody Niang est un mauvais exemple ou que les décus sont des maîtres chanteurs et que Youssou Ndour devrait aller…chanter !
En 2 phrases, ce directeur de campagne se fait plus de 2 millions d’ennemis et oblige son président de candidat, de se rattraper sur le tard, en se démarquant de tels propos. Le premier ministre a plus sa place dans l’arene que dans la politique.
En définitive, comment un Abdoulaye Wade peut il gagner l’élection de 2012 au premier tour, face à au moins 10 valeureux candidats en ayant en bandoulière, un premier ministre tel que SDD, des ministres tels que nous les connaissons, un parti en lambeau, des départs massifs, un manque de soutien caractérisé aux véritables partisans, des militants d’une indiscipline extraordinaire et des «alliés » qui veulent tous être quatrième président.
Face à tous ces fardeaux qui lui seront fatals, le conseil constitutionnel lui rendrait un grand service en invalidant sa candidature.
Et encore, nous n’avons parlé ni d’âge, ni de santé, ni de droit et encore moins de la SEULE ET ETERNELLE CONSTANTE !
Oui, Wade doit gagner et, au premier tour sinon, tous ceux qui ont accroché leur destin à celui de cet homme, vont plonger dans les abysses du désespoir.
Un cagoulard qui mange à la table de Laye.
Des maîtres chanteurs montent au créneau et pointent le doigt vers Wade :
« C’est notre leader ou le chaos » disent en chœur les partisans de Baldé. « Attention, c’est moi ou le chaos » crient Abdou Fall et Mamadou Sidibé dans les radios que décide de bouder le patron des radios, Guirassy fils.
Les profiteurs se positionnent et promettent à Wade, la victoire au premier tour.
Tout le monde entonne ce refrain et le seul à y croire et qui déploie force et énergie en vue de sa réalisation, est bien le Président Wade.
Ceux qu’il a enrichis pendant 10 ans, sont soit en face de lui, soit en posture de départ vers d’autres horizons où ils nieront leur fidélité à Wade pour y embrasser les pieds du nouvel élu.
Les deux mamelles nouricières de la fronde contre Wade sont le PDS et ses alliés des vingt cinquième heures.
Du nord au sud du Sénégal, les militants du PDS se déchirent dans leurs instances, au sein de leurs permanences. Une fois dehors, plus de PDS ! Dans mon quartier, qui est celui du président et de sa famille, point de militants PDS qui arpentent les rues.
Le siège de Karim Wade est comme une maison hantée que ne fréquentent que les vieilles femmes et les jeunes désoeuvrés.
Les responsables du PDS sont « protégés » du peuple par une armée de nervis, l’insulte à la bouche. Il est devenu plus aisé de rencontrer Wade que ces nantis, riches comme Crésus. Et pourtant, pas un centime ne glisse de leurs mains vers le peuple. Il n’y a qu’un seul homme généreux au PDS, avec l’argent du peuple : Maître Abdoulaye Wade.
Tous ceux qui sont avec et autour d’Abdoulaye Wade et de sa famille, s’enrichissent outre mésure. C’est là que s’explique leur soutien à la candidature de Wade à un troisème mandat anticonstitutionnel. Wade au pouvoir est pour eux, un enrichissement certain.
Les rats qui entourent Wade sont aussi ces alliés des vingt cinquième heures, arrivés aux côtés de Wade quand tout était fini.
Djibo Kâ, Cheikh Tidiane Sy, Ousmane Ngom, Doudou Ndir, Iba Der Thiam, Aïda Mbodj, Sada Ndiaye, Adama Sall et tous ceux qui ont été vomis par le parti socilaliste au lendemain de l’alternance.
Bien logés par le SOPI, répus et engraissés, ils préparent l’alternance de l’alternance car ils sont toujours du côté du vainqueur. Pour le moment, ils constituent les contre valeurs avec lesquelles, Wade veut gagner au premier tour s’il vous plait.
Cette fois-ci, les seuls djinns sénégalais seront incapables d’assurer à Wade la victoire qu’il escompte. C’est avec tristesse que l’on voit, faute de combattants disponibles, le premier ministre débouller tête baissée dans une radio de la place et dire que Wade n’a pas besoin de consignes de vote, que l’excellent écrivain Mody Niang est un mauvais exemple ou que les décus sont des maîtres chanteurs et que Youssou Ndour devrait aller…chanter !
En 2 phrases, ce directeur de campagne se fait plus de 2 millions d’ennemis et oblige son président de candidat, de se rattraper sur le tard, en se démarquant de tels propos. Le premier ministre a plus sa place dans l’arene que dans la politique.
En définitive, comment un Abdoulaye Wade peut il gagner l’élection de 2012 au premier tour, face à au moins 10 valeureux candidats en ayant en bandoulière, un premier ministre tel que SDD, des ministres tels que nous les connaissons, un parti en lambeau, des départs massifs, un manque de soutien caractérisé aux véritables partisans, des militants d’une indiscipline extraordinaire et des «alliés » qui veulent tous être quatrième président.
Face à tous ces fardeaux qui lui seront fatals, le conseil constitutionnel lui rendrait un grand service en invalidant sa candidature.
Et encore, nous n’avons parlé ni d’âge, ni de santé, ni de droit et encore moins de la SEULE ET ETERNELLE CONSTANTE !
Oui, Wade doit gagner et, au premier tour sinon, tous ceux qui ont accroché leur destin à celui de cet homme, vont plonger dans les abysses du désespoir.
Un cagoulard qui mange à la table de Laye.