Quand on pense aux personnes étudiant à l’étranger, on imagine des photos avec Big Ben, des selfies en cours avec leurs nouveaux amis venus des quatre coins du monde, énormément de découvertes en terme de nourriture et d’alcool. Bref, une ambiance à la « Auberge espagnole ». Mais tout ceci n’est qu’une infime partie de la réalité. Explications.
Le départ que vous voyez à l’aéroport, lorsqu’il/elle est entouré de ses bagages, ne montre pas tout. Il cache notamment l’appréhension qui est la sienne de partir dans l’inconnu, la nervosité provoquée par le fait d’être totalement livré à soi-même pour la première fois de sa vie, ou encore la peur de quitter et de se retrouver loin de tout ce qui est familier.
Et ne pensez pas qu’il/elle sera directement proche et ami(e) avec de nombreuses personnes. Les premiers jours sur place ne sont pas aussi faciles que ce que vous voyez à travers les réseaux sociaux pourrait vous laisser croire. Bien au contraire. En fait, le début est souvent le moment le plus dur.Pourquoi ? Car on ne connaît encore personne, tout est nouveau, et on sait pertinemment qu’il faut qu’on se bouge pour s’intégrer.
De même, il/elle ne vous a sans doute pas parlé du nombre incalculable d’aller/retour chez Tesco, Sainsbury’s, Seven Eleven ou encore Wallmart lors de son installation, finalement pas si simple. Mais aussi pour pallier à toutes les fois où il/elle a été en manque de papier toilettes, de lessive, de sel, de shampoing, etc. Eh oui, c’est le genre de choses que l’on apprend en quittant le nid, les réflexes que l’on acquiert seulement en coupant le cordon. Autonomie ou indépendance, appelez ça comme vous voulez. Ce qui est sûr, c’est que ça fait le plus grand bien.
Cette expérience unique est quasi indispensable pour le développement d’un jeune adulte. En tout cas, elle constitue un génial accélérateur d’apprentissage. Aujourd’hui, partir du foyer familial reste encore le meilleur moyen de s’affirmer. On apprend à ne dépendre de personne tout en se faisant de nouveaux amis et en partageant des relations incroyables. Une situation unique qui permet une indéniable ouverture d’esprit. Tous ceux qui sont partis étudier à l’étranger vous le diront, il y a un avant et un après.
Mais tout n’est pas rose pour autant, certains moments font aussi ressurgir le doute. Par exemple lorsqu’on pense à notre famille et nos amis qui nous manquent terriblement. Pendant une période de plusieurs mois à l’étranger, il arrive d’en perdre de vu. Il y a également des instants où la seule chose dont on rêve est de partager un bon dîner en famille. Parfois, il y a aussi la nostalgie de parler sa langue, de se faire comprendre de tous sans aucun problème, sans avoir à faire d’efforts.
Finalement, ce concentré de vie est une étape primordiale. Dorénavant, il/elle sait ce que ça fait de pas se sentir à sa place, puis de la trouver, et enfin s’y épanouir pleinement. Au fil des semaines et des mois, on parvient à se créer de vrais amis qui deviennent une seconde famille. On se créé seul un espace que l’on appelle « maison ». Et le fait que tout le monde soit réuni pour une période limitée accentue grandement l’intensité des relations. On sait que chaque chose que l’on vit aura une fin, il faut donc en profiter au maximum. Une façon de penser qui ajoute un plus indescriptible à l’expérience d’un échange étudiant à l’étranger. Demandez autour de vous, tous ceux qui l’ont vécu vous en parleront.
Résultat, dans l’immense majorité des cas (pour ne pas dire 100%), cela reste les plus belles années de leur vie. Tous le disent, pendant ce séjour de quelques mois voire d’un an, les jeunes apprennent beaucoup plus que lors du quotidien et de la routine tranquille qu’ils vivaient chez eux.
Alors chers parents, si votre enfant vous fait la demande de partir étudier à l’étranger, un conseil, sautez sur l’occasion. En tant que papa et maman, cela sera sûrement un geste difficile, mais en agissant ainsi,vous rendrez un grand service à votre enfant. Promis, vous ne le regretterez pas !
demotivateur
Le départ que vous voyez à l’aéroport, lorsqu’il/elle est entouré de ses bagages, ne montre pas tout. Il cache notamment l’appréhension qui est la sienne de partir dans l’inconnu, la nervosité provoquée par le fait d’être totalement livré à soi-même pour la première fois de sa vie, ou encore la peur de quitter et de se retrouver loin de tout ce qui est familier.
Et ne pensez pas qu’il/elle sera directement proche et ami(e) avec de nombreuses personnes. Les premiers jours sur place ne sont pas aussi faciles que ce que vous voyez à travers les réseaux sociaux pourrait vous laisser croire. Bien au contraire. En fait, le début est souvent le moment le plus dur.Pourquoi ? Car on ne connaît encore personne, tout est nouveau, et on sait pertinemment qu’il faut qu’on se bouge pour s’intégrer.
De même, il/elle ne vous a sans doute pas parlé du nombre incalculable d’aller/retour chez Tesco, Sainsbury’s, Seven Eleven ou encore Wallmart lors de son installation, finalement pas si simple. Mais aussi pour pallier à toutes les fois où il/elle a été en manque de papier toilettes, de lessive, de sel, de shampoing, etc. Eh oui, c’est le genre de choses que l’on apprend en quittant le nid, les réflexes que l’on acquiert seulement en coupant le cordon. Autonomie ou indépendance, appelez ça comme vous voulez. Ce qui est sûr, c’est que ça fait le plus grand bien.
@youngabroad
Cette expérience unique est quasi indispensable pour le développement d’un jeune adulte. En tout cas, elle constitue un génial accélérateur d’apprentissage. Aujourd’hui, partir du foyer familial reste encore le meilleur moyen de s’affirmer. On apprend à ne dépendre de personne tout en se faisant de nouveaux amis et en partageant des relations incroyables. Une situation unique qui permet une indéniable ouverture d’esprit. Tous ceux qui sont partis étudier à l’étranger vous le diront, il y a un avant et un après.
Mais tout n’est pas rose pour autant, certains moments font aussi ressurgir le doute. Par exemple lorsqu’on pense à notre famille et nos amis qui nous manquent terriblement. Pendant une période de plusieurs mois à l’étranger, il arrive d’en perdre de vu. Il y a également des instants où la seule chose dont on rêve est de partager un bon dîner en famille. Parfois, il y a aussi la nostalgie de parler sa langue, de se faire comprendre de tous sans aucun problème, sans avoir à faire d’efforts.
@exchange
Finalement, ce concentré de vie est une étape primordiale. Dorénavant, il/elle sait ce que ça fait de pas se sentir à sa place, puis de la trouver, et enfin s’y épanouir pleinement. Au fil des semaines et des mois, on parvient à se créer de vrais amis qui deviennent une seconde famille. On se créé seul un espace que l’on appelle « maison ». Et le fait que tout le monde soit réuni pour une période limitée accentue grandement l’intensité des relations. On sait que chaque chose que l’on vit aura une fin, il faut donc en profiter au maximum. Une façon de penser qui ajoute un plus indescriptible à l’expérience d’un échange étudiant à l’étranger. Demandez autour de vous, tous ceux qui l’ont vécu vous en parleront.
Résultat, dans l’immense majorité des cas (pour ne pas dire 100%), cela reste les plus belles années de leur vie. Tous le disent, pendant ce séjour de quelques mois voire d’un an, les jeunes apprennent beaucoup plus que lors du quotidien et de la routine tranquille qu’ils vivaient chez eux.
@erasmus
Alors chers parents, si votre enfant vous fait la demande de partir étudier à l’étranger, un conseil, sautez sur l’occasion. En tant que papa et maman, cela sera sûrement un geste difficile, mais en agissant ainsi,vous rendrez un grand service à votre enfant. Promis, vous ne le regretterez pas !
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