Lorsque des policiers ou des gendarmes se déplacent à plusieurs pour assurer la protection d'une haute autorité de la République, ils emportent avec eux leurs armes dans une mallette sécurisée. A leur arrivée, ces armes sont présentées aux autorités locales. Au moment du départ, ces autorités vérifient également que ces armes repartent bien dans leur pays d'origine.
Le policier limogé
En arrivant à Rio le 19 juin, les membres du GSPR se sont aperçus que la mallette contenant six armes de poing était restée à l'Elysée et, comme l'écrit Le Canard Enchaîné, la protection du chef de l'Etat "s'est faite à mains nues". "De mémoire de flic, c'est une première", a confié un policier à l'hebdomadaire, qui précise que le chef de l'Etat n'a été informé de l'oubli qu'une fois de retour à Paris.
Après enquête, le policier responsable de cet oubli, qui officiait déjà lors du mandat de Nicolas Sarkozy, a dû quitter le GSPR, non pas à cause de cette erreur, mais parce qu'il aurait tenté de faire porter la responsabilité à un autre membre du GSPR.
Le policier limogé
En arrivant à Rio le 19 juin, les membres du GSPR se sont aperçus que la mallette contenant six armes de poing était restée à l'Elysée et, comme l'écrit Le Canard Enchaîné, la protection du chef de l'Etat "s'est faite à mains nues". "De mémoire de flic, c'est une première", a confié un policier à l'hebdomadaire, qui précise que le chef de l'Etat n'a été informé de l'oubli qu'une fois de retour à Paris.
Après enquête, le policier responsable de cet oubli, qui officiait déjà lors du mandat de Nicolas Sarkozy, a dû quitter le GSPR, non pas à cause de cette erreur, mais parce qu'il aurait tenté de faire porter la responsabilité à un autre membre du GSPR.