En effet, durant deux nuits des Français d'origine marocaine et une centaine d’ouvriers viticoles espagnols, séparatistes sahraouis d'origine, se sont affrontés à Pauillac.
Il est utile de rappeler qu’un nombre important de sahraouis séparatistes, du polisario, sont venus d'Espagne au mois de janvier 2012 dans la région pour s’y installer, pour la plupart dans des squats et en qualité de vendangeurs.
Une arrivée en masse dans la région qui s’explique par le manque de travail en Espagne, où la situation est critique tant du point de vue économique mais aussi politique avec la fin des aides financières aux représentations séparatistes sahraouies et la position de l’Espagne sur la question du Sahara marocain.
C’est ainsi, qu’ayant constaté la présence d’une importante communauté d’origine marocaine, fière de ses origines et fortement patriotique, ils ont opté pour la provocation en brandissant de temps à autre des drapeaux sahraouis et à titiller les marocains et les personnes âgées qui fréquentent la salle de prière.
La déflagration a été déclenchée, selon la déclaration du Maire et des témoins, par un séparatiste lorsqu’il s’est présenté vêtu d’un tee-shirt tagué « sahara libre » provoquant ainsi des batailles rangées et des chasse à l’homme dans la ville de Pauillac, notamment sur les quais deux nuits durant.
Selon des témoins, des barres de fer, des sabres, des battes de base-ball et des fusils ont été vus. Des coups de feu ont également été entendus.
Outre l'escadron de gendarmerie mobile, le PSIG de Mérignac, la brigade cynophile, un hélicoptère d'appui et tous les personnels disponibles de la compagnie de Lesparre, ont été mobilisés pour ramener le calme.
Le bilan de ces violences s’établit à d’importants dégâts matériels, des voitures dégradées, des appartements vidés et deux blessés sérieusement
Pour mettre un terme à ces violences et ramener la quiétude à Pauillac, une ville réputée calme, les travailleurs sahraouis séparatistes ont été regroupés par sécurité sur les quais, sous la supervision de la gendarmerie pour être conduits vers Montalivet, une station balnéaires du Médoc et ce, sous haute surveillance de la gendarmerie française, le temps d’être transférés vers l’Espagne.
A noter que l’arrivée massive dans le Sud-Ouest de France de séparatistes sahraouis ayant la nationalité espagnole s’explique par l’installation au préalable d’éléments du polisario dans cette région avec pour objectif d’accueillir un grand nombre d’entre eux venus d’Espagne.
A cet effet, ils se sont convertis en agents recruteurs de main-d’œuvre en créant des sociétés de prestation de services et tissant des liens avec les viticulteurs, agriculteurs et agences d’emploi.
Le représentant de cette nouvelle forme d’esclavagisme n’est autre qu’Ely Abderrahmane Ould Chouaib, qui affiche allègrement son passeport mauritanien ainsi que son titre de séjour espagnol.
Un personnage qui revendique « son militantisme de révolutionnaire pour un Sahara Occidental libre » et son appartenance au mouvement indépendantiste du Front Polisario et qui affirme que « ses amis (du polisario) se tiendront tranquilles (en France), sauf si nous sommes menacés ».
Une déclaration de guerre en quelque sorte.
La France serait-elle ainsi, à travers cette nouvelle forme d’immigration légale, face à une nouvelle menace terroriste quand on connait les accointances révélées et avérées entre le polisario et AQMI ?
Farid Mnebhi.
Il est utile de rappeler qu’un nombre important de sahraouis séparatistes, du polisario, sont venus d'Espagne au mois de janvier 2012 dans la région pour s’y installer, pour la plupart dans des squats et en qualité de vendangeurs.
Une arrivée en masse dans la région qui s’explique par le manque de travail en Espagne, où la situation est critique tant du point de vue économique mais aussi politique avec la fin des aides financières aux représentations séparatistes sahraouies et la position de l’Espagne sur la question du Sahara marocain.
C’est ainsi, qu’ayant constaté la présence d’une importante communauté d’origine marocaine, fière de ses origines et fortement patriotique, ils ont opté pour la provocation en brandissant de temps à autre des drapeaux sahraouis et à titiller les marocains et les personnes âgées qui fréquentent la salle de prière.
La déflagration a été déclenchée, selon la déclaration du Maire et des témoins, par un séparatiste lorsqu’il s’est présenté vêtu d’un tee-shirt tagué « sahara libre » provoquant ainsi des batailles rangées et des chasse à l’homme dans la ville de Pauillac, notamment sur les quais deux nuits durant.
Selon des témoins, des barres de fer, des sabres, des battes de base-ball et des fusils ont été vus. Des coups de feu ont également été entendus.
Outre l'escadron de gendarmerie mobile, le PSIG de Mérignac, la brigade cynophile, un hélicoptère d'appui et tous les personnels disponibles de la compagnie de Lesparre, ont été mobilisés pour ramener le calme.
Le bilan de ces violences s’établit à d’importants dégâts matériels, des voitures dégradées, des appartements vidés et deux blessés sérieusement
Pour mettre un terme à ces violences et ramener la quiétude à Pauillac, une ville réputée calme, les travailleurs sahraouis séparatistes ont été regroupés par sécurité sur les quais, sous la supervision de la gendarmerie pour être conduits vers Montalivet, une station balnéaires du Médoc et ce, sous haute surveillance de la gendarmerie française, le temps d’être transférés vers l’Espagne.
A noter que l’arrivée massive dans le Sud-Ouest de France de séparatistes sahraouis ayant la nationalité espagnole s’explique par l’installation au préalable d’éléments du polisario dans cette région avec pour objectif d’accueillir un grand nombre d’entre eux venus d’Espagne.
A cet effet, ils se sont convertis en agents recruteurs de main-d’œuvre en créant des sociétés de prestation de services et tissant des liens avec les viticulteurs, agriculteurs et agences d’emploi.
Le représentant de cette nouvelle forme d’esclavagisme n’est autre qu’Ely Abderrahmane Ould Chouaib, qui affiche allègrement son passeport mauritanien ainsi que son titre de séjour espagnol.
Un personnage qui revendique « son militantisme de révolutionnaire pour un Sahara Occidental libre » et son appartenance au mouvement indépendantiste du Front Polisario et qui affirme que « ses amis (du polisario) se tiendront tranquilles (en France), sauf si nous sommes menacés ».
Une déclaration de guerre en quelque sorte.
La France serait-elle ainsi, à travers cette nouvelle forme d’immigration légale, face à une nouvelle menace terroriste quand on connait les accointances révélées et avérées entre le polisario et AQMI ?
Farid Mnebhi.