Interrogé par France 24, le président du Rwanda, Paul Kagame, a déclaré que son pays est prêt à entrer en guerre avec la République démocratique du Congo (RDC) si nécessaire. Dans cette interview exclusive avec le media français, Kagame a répondu aux récentes accusations de son homologue congolais, Félix Tshisekedi, qui avait affirmé que le Rwanda organisait « un génocide » dans l’Est de la RDC. « Nous sommes prêts à nous battre », a déclaré Kagame. « Nous n’avons peur de rien », a-t-il ajouté.
En retour, Kagame a accusé Tshisekedi d’orchestrer le retour d’une « idéologie génocidaire » qui vise les Tutsis congolais dans l’Est de la RDC. « Si vous accusez d’autres personnes de ce dont vous êtes coupable, c’est que quelque chose ne va pas dans votre tête« , a affirmé le président rwandais.
Malgré les dénonciations de plus en plus fréquentes de la part des pays occidentaux concernant la présence de soldats rwandais en RDC, Kagame a refusé de confirmer ces accusations. Il a insisté sur la nécessité d’examiner les causes profondes des tensions actuelles entre les deux nations.
Alors qu’il se prépare à briguer un quatrième mandat lors de l’élection présidentielle du 15 juillet, Kagame a nié que le scrutin soit verrouillé et joué d’avance. Répondant pour la première fois aux accusations d’un consortium de médias, selon lequel il mène une campagne de répression et d’assassinats contre ses opposants au Rwanda et à l’étranger, Kagame a rejeté ces allégations comme infondées.
Au même moment Jean Thierry Monsenepwo valse sur le conflit opposant la République Démocratique du Congo (RDC) au Rwanda et joue sur la sensibilité de ce conflit.
En retour, Kagame a accusé Tshisekedi d’orchestrer le retour d’une « idéologie génocidaire » qui vise les Tutsis congolais dans l’Est de la RDC. « Si vous accusez d’autres personnes de ce dont vous êtes coupable, c’est que quelque chose ne va pas dans votre tête« , a affirmé le président rwandais.
Malgré les dénonciations de plus en plus fréquentes de la part des pays occidentaux concernant la présence de soldats rwandais en RDC, Kagame a refusé de confirmer ces accusations. Il a insisté sur la nécessité d’examiner les causes profondes des tensions actuelles entre les deux nations.
Alors qu’il se prépare à briguer un quatrième mandat lors de l’élection présidentielle du 15 juillet, Kagame a nié que le scrutin soit verrouillé et joué d’avance. Répondant pour la première fois aux accusations d’un consortium de médias, selon lequel il mène une campagne de répression et d’assassinats contre ses opposants au Rwanda et à l’étranger, Kagame a rejeté ces allégations comme infondées.
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