
Un acte que son leader, Malick Noël Seck, assimile à un "samba alaar (du-ma-tu-vu)". Et ce, souligne le Fnsp, au moment où Dakar faisait face à une pénurie d’eau sans précédent à cause d’une canalisation mal construite à Keur Momar Sarr. Pis, signale-t-il, "pendant trois semaines. Devant l’absence de moyens, les techniciens sénégalais se trouvent dans l’incapacité de résoudre le problème". De l’incompétence réelle, selon M Seck et ses camarades qui fustigent le fait que le Sénégal dépende encore de l’occident en général et de la France en particulier pour régler certaines questions d’ordre national.