Le bras de fer se poursuit entre les raffineries et les syndicats. Deux responsables de la CGT ont indiqué que la grève, à l'origine des perturbations de l'approvisionnement des stations-service, des pénuries et des longues files d'attente, se poursuivait au moins jusqu'à mardi, et serait étendue à d'autres stations-service. Le mouvement social, long d'une dizaine de jours déjà, a pour objet une demande de revalorisation salariale.
En plus d'être reconduit, le mouvement est étendu à une quinzaine de stations-service autoroutières du réseau Argedis, filiale de TotalEnergies, rapporte l'AFP de sources syndicales. Elles seront toutes fermées mardi. Du côté des raffineries, la grève va se poursuivre sur le site de Normandie, près du Havre, dans le dépôt de carburants de Flandres, près de Dunkerque et à la « bio-raffinerie » de La Mède (Bouches-du-Rhône), a indiqué à l'AFP Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité européen TotalEnergies.
En plus d'être reconduit, le mouvement est étendu à une quinzaine de stations-service autoroutières du réseau Argedis, filiale de TotalEnergies, rapporte l'AFP de sources syndicales. Elles seront toutes fermées mardi. Du côté des raffineries, la grève va se poursuivre sur le site de Normandie, près du Havre, dans le dépôt de carburants de Flandres, près de Dunkerque et à la « bio-raffinerie » de La Mède (Bouches-du-Rhône), a indiqué à l'AFP Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité européen TotalEnergies.