Selon eux, Gadio a accepté de faire le suivi de la situation du Mali pour le compte de Mme la SG de l’OIF et de la représenter dans les initiatives en cours pour le retour à l’ordre constitutionnel normal.
« Par conséquent, Gadio n’est pas un fonctionnaire international ou un employé de l’OIF. Il exécute simplement une mission ponctuelle avec des termes de référence précis», ont-il dit dans un document sorti pour démentir l’info.
Mais dans une note de leur Rédaction, le quotidien « L’As » est resté ferme sur ses positions : « Le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, dans son article 110, et le Code électoral sénégalais, combinés sont clairs et sans équivoque. En dehors des acteurs de l’enseignement supérieur, personne ne peut recevoir, obtenir ou être rémunéré par une organisation ou un pays étranger, fût-il envoyé spécial ou en mission spéciale, et en même temps, rester député ».
Pour étayer ses propos, le journal ajoute que « tous les experts neutres que nous avons interrogés, ont été unanimes là-dessus. Maintenant, libre à Gadio de s’agripper sur son siège, surtout que quand on est en phase avec le pouvoir, on peut se permettre de faire entorse à la loi ».
Concernant les dérapages des partisans de Gadio dans leur communiqué, pour nos confrères « le reste, ce n’est que du verbiage ».
« Par conséquent, Gadio n’est pas un fonctionnaire international ou un employé de l’OIF. Il exécute simplement une mission ponctuelle avec des termes de référence précis», ont-il dit dans un document sorti pour démentir l’info.
Mais dans une note de leur Rédaction, le quotidien « L’As » est resté ferme sur ses positions : « Le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, dans son article 110, et le Code électoral sénégalais, combinés sont clairs et sans équivoque. En dehors des acteurs de l’enseignement supérieur, personne ne peut recevoir, obtenir ou être rémunéré par une organisation ou un pays étranger, fût-il envoyé spécial ou en mission spéciale, et en même temps, rester député ».
Pour étayer ses propos, le journal ajoute que « tous les experts neutres que nous avons interrogés, ont été unanimes là-dessus. Maintenant, libre à Gadio de s’agripper sur son siège, surtout que quand on est en phase avec le pouvoir, on peut se permettre de faire entorse à la loi ».
Concernant les dérapages des partisans de Gadio dans leur communiqué, pour nos confrères « le reste, ce n’est que du verbiage ».