Dr. Oumar Dia et ses camarades déplorent la situation qui prévaut dans les universités sénégalaises. Ils parlent même d’un manque d’intérêt de la part du gouvernement du Sénégal. ”Le désintérêt du gouvernement du Sénégal pour le sous-secteur de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, est de plus en plus grand et inquiétant”, lit-on dans le communiqué parvenu à la rédaction de lasnews.
Ils ont déroulé un chapelet de doléances, dont la non-satisfaction des points essentiels de revendications (déficit d’infrastructures et de personnels), constants dans toutes les plateformes revendicatives du SUDES/ESR depuis au moins 2013.
Le Sudes/Esr ne compte pas s’arrêter en de si bon chemin pour réclamer un changement de paradigme dans les universités sénégalaises, avec de meilleures conditions de travail. “Si dans les semaines à venir, le gouvernement et le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ne manifestent aucune volonté sincère de changer radicalement la situation actuelle, le SUDES/ESR assure qu’il observera des grèves dans toutes les universités du pays. Il mettra en œuvre un plan d’actions destiné à ramener le gouvernement à la raison”, avertit le Sudes/Esr.
Le Sudes/Esr réclame le recrutement d’au moins 500 enseignants-chercheurs par an, en lieu et place de la réalisation du Centre international de conférence Abdou Diouf (CICAD), de l’Arène de lutte de Pikine, de l’Arena Stadium de Diamniadio…
“Nous proposons un plan Marshall de recrutement d’au moins 500 enseignants-chercheurs par an pendant 10 ans et la transformation de l’UVS en Institut national de la formation continue, sous la tutelle scientifique de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar”, propose-t-il. Le syndicat réclame également le financement et l’équipement des laboratoires de recherches des universités, l’augmentation de la prime de recherche par semestre.
Selon toujours lasnews, le Sudes/Esr a aussi relevé les carences du ministre de l’Enseignement supérieur. “L’incompétence scandaleuse du Ministre actuel de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation est inquiétante, incapable de la moindre intelligence des problèmes structurels de l’université sénégalaise. Le système est plombé à la fois par le désengagement et l’immobilisme du gouvernement et par les énormes carences de l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur. L’université sénégalaise se débat dans des difficultés qui menacent gravement son existence “, constate-t-il.
Ils ont déroulé un chapelet de doléances, dont la non-satisfaction des points essentiels de revendications (déficit d’infrastructures et de personnels), constants dans toutes les plateformes revendicatives du SUDES/ESR depuis au moins 2013.
Le Sudes/Esr ne compte pas s’arrêter en de si bon chemin pour réclamer un changement de paradigme dans les universités sénégalaises, avec de meilleures conditions de travail. “Si dans les semaines à venir, le gouvernement et le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ne manifestent aucune volonté sincère de changer radicalement la situation actuelle, le SUDES/ESR assure qu’il observera des grèves dans toutes les universités du pays. Il mettra en œuvre un plan d’actions destiné à ramener le gouvernement à la raison”, avertit le Sudes/Esr.
Le Sudes/Esr réclame le recrutement d’au moins 500 enseignants-chercheurs par an, en lieu et place de la réalisation du Centre international de conférence Abdou Diouf (CICAD), de l’Arène de lutte de Pikine, de l’Arena Stadium de Diamniadio…
“Nous proposons un plan Marshall de recrutement d’au moins 500 enseignants-chercheurs par an pendant 10 ans et la transformation de l’UVS en Institut national de la formation continue, sous la tutelle scientifique de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar”, propose-t-il. Le syndicat réclame également le financement et l’équipement des laboratoires de recherches des universités, l’augmentation de la prime de recherche par semestre.
Selon toujours lasnews, le Sudes/Esr a aussi relevé les carences du ministre de l’Enseignement supérieur. “L’incompétence scandaleuse du Ministre actuel de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation est inquiétante, incapable de la moindre intelligence des problèmes structurels de l’université sénégalaise. Le système est plombé à la fois par le désengagement et l’immobilisme du gouvernement et par les énormes carences de l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur. L’université sénégalaise se débat dans des difficultés qui menacent gravement son existence “, constate-t-il.