L’organisation qui se veut conservatrice des valeurs morales s’érige en bouclier contre ces hautes autorités qui veulent ternir l’image du Sénégal en s’acoquinant avec les étudiantes venues d’Haïti. A cet effet, une lettre a été adressée au chef de l’Etat. Dans cette lettre, il s’agit pour la Jamra d’informer le président de la République des actes posés par de hautes personnalités mais aussi de faire des suggestions. Parmi lesquelles la nomination d’un nouveau responsable chargé de l’encadrement des étudiants haïtiens. Un poste laissé vacant par le ministre Lamine Bâ qui s’était occupé de la venue des étudiants haïtiens au Sénégal.
Pendant ce temps, les spéculations vont bon train à la cite Aline Sitoé Diatta appelée Claudel où certaines étudiantes haïtiennes ont élu domicile depuis qu’elles ont débarqué à Dakar. Selon des étudiants interpellés sur la question par la RFM ecoutée par Leral.net, de grands bonnets sont toujours vus dans les parages les samedis vers les coups de 23 heures. Un chauffeur de taxi confirme cette information et laisse entendre qu’ils sont souvent dans des voitures aux vitres teintés. Ce qui fait qu’ils ne sont pas faciles à identifier. Mais ce qui est non moins sûr, c’est qu’il s’agit de hautes autorités qui sont à l’affut de la bonne chair…haïtienne. « il y a pire dans le coin », assure une étudiante au micro de notre confrère de la RFM écoutée par LERAL.NET.
AKC
Pendant ce temps, les spéculations vont bon train à la cite Aline Sitoé Diatta appelée Claudel où certaines étudiantes haïtiennes ont élu domicile depuis qu’elles ont débarqué à Dakar. Selon des étudiants interpellés sur la question par la RFM ecoutée par Leral.net, de grands bonnets sont toujours vus dans les parages les samedis vers les coups de 23 heures. Un chauffeur de taxi confirme cette information et laisse entendre qu’ils sont souvent dans des voitures aux vitres teintés. Ce qui fait qu’ils ne sont pas faciles à identifier. Mais ce qui est non moins sûr, c’est qu’il s’agit de hautes autorités qui sont à l’affut de la bonne chair…haïtienne. « il y a pire dans le coin », assure une étudiante au micro de notre confrère de la RFM écoutée par LERAL.NET.
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