C’est dans sa voiture, une Citroën C3 de couleur blanche que le jeune cadre de la Senelec s’est donné la mort ce vendredi. Vers les coups de 9 heures, Ousmane Sall, âgé de 40 ans et officiant au service de dispatching de Mbao s’est engouffré dans son véhicule dont il sécurise les portières. Garant sur le bas-côté de la bretelle qui mène au village de Petit Mbao, le suicidaire met sa ceinture de sécurité avant de s’asperger d’essence. La suite, c’est le feu qui le fera. Une scène qui s’est déroulée devant les yeux d’une domestique qui a été entendue par les éléments de la Gendarmerie de la Zone franche qui ont en charge l’enquête sur la mort d’Ousmane Sall.
Sur les motivations d’un tel acte, rien n’a filtré. Mais la victime aurait essayé au dernier moment, de s’exfiltrer de ce gouffre dans lequel il s’était mis. Mais, c’était trop tard pour lui. Le feu a eu raison de ses efforts fournis pour se dégager. Son corps calciné a été transféré à l’hôpital Aristide le Dantec par les sapeurs-pompiers. Le défunt laisse derriere lui une veuve et deux enfants.
Sur les motivations d’un tel acte, rien n’a filtré. Mais la victime aurait essayé au dernier moment, de s’exfiltrer de ce gouffre dans lequel il s’était mis. Mais, c’était trop tard pour lui. Le feu a eu raison de ses efforts fournis pour se dégager. Son corps calciné a été transféré à l’hôpital Aristide le Dantec par les sapeurs-pompiers. Le défunt laisse derriere lui une veuve et deux enfants.