Remblayer une zone humide, qui de surcroit est un marigot sans aucune étude d’impact environnemental préalable, résulte du tâtonnement ou de l’incompétence à outrance. L’article de la loi L 48 du code environnemental de notre pays nous dit ceci : « Tout projet de développement ou activité susceptible de porter atteinte à l’environnement, de même que les politiques, les plans, les programmes, les études régionales et sectorielles devront faire l’objet d’une évaluation environnementale.
L’évaluation environnementale est un processus systématique qui consiste à évaluer les possibilités, les capacités et les fonctions des ressources, des systèmes naturels et des systèmes humains afin de faciliter la planification du développement durable et la prise de décision en général… » Et malheureusement, les travaux de remblayage ont déjà démarré sans pour autant tenir compte de ces préalables élémentaires.
Comme l’avait si bien alerté Tamsir Mbengue dans l’un de ses précédents posts, les cimetières de Ndiolmane, les maisons environnantes des quartiers de Ndiolmane, Ngouye Daga et Santhioub Guedj risqueraient fort de s’engloutir dans les eaux pluviales ou maritimes ,occasionnant à l’avenir de nombreux dégâts aux populations, participant à la disparition de la flore ou de la faune et entraînant également une modification sensible du relief du sol.
Qu’est-ce cela lui aurait coûté à commencer d’abord par faire les études d’impact environnemental avant tout début de travaux de remblayage ? Et il a fallu que des gens avisés en sonnent l’alerte pour qu’il revienne faire son « dooxantu » dans les quartiers, au moment où les remblais des zones concernées suivent leur cours normal.
Cette étude d’impact qui devait être faite en phase 0 du projet , aurait permis au moins d’avoir une meilleure lecture de la situation et de prendre le meilleur choix qui sied dans de pareilles situations . Hélas que nenni, l’amateurisme dans la gestion des affaires de la mairie comme à l’accoutumée, vient de s’illustrer encore une fois avec ce maire, urbaniste, de surcroît. Soyons sérieux ! Et ne venez surtout pas nous dire que vous faites le tour des quartiers pour recueillir nos avis afin de procéder au bon démarrage des travaux de remblayage, cela serait une insulte à notre intelligence. C’est triste et regrettable à la fois de voir notre chère Bargny en arriver là. Pauvres de nous !
L’évaluation environnementale est un processus systématique qui consiste à évaluer les possibilités, les capacités et les fonctions des ressources, des systèmes naturels et des systèmes humains afin de faciliter la planification du développement durable et la prise de décision en général… » Et malheureusement, les travaux de remblayage ont déjà démarré sans pour autant tenir compte de ces préalables élémentaires.
Comme l’avait si bien alerté Tamsir Mbengue dans l’un de ses précédents posts, les cimetières de Ndiolmane, les maisons environnantes des quartiers de Ndiolmane, Ngouye Daga et Santhioub Guedj risqueraient fort de s’engloutir dans les eaux pluviales ou maritimes ,occasionnant à l’avenir de nombreux dégâts aux populations, participant à la disparition de la flore ou de la faune et entraînant également une modification sensible du relief du sol.
Qu’est-ce cela lui aurait coûté à commencer d’abord par faire les études d’impact environnemental avant tout début de travaux de remblayage ? Et il a fallu que des gens avisés en sonnent l’alerte pour qu’il revienne faire son « dooxantu » dans les quartiers, au moment où les remblais des zones concernées suivent leur cours normal.
Cette étude d’impact qui devait être faite en phase 0 du projet , aurait permis au moins d’avoir une meilleure lecture de la situation et de prendre le meilleur choix qui sied dans de pareilles situations . Hélas que nenni, l’amateurisme dans la gestion des affaires de la mairie comme à l’accoutumée, vient de s’illustrer encore une fois avec ce maire, urbaniste, de surcroît. Soyons sérieux ! Et ne venez surtout pas nous dire que vous faites le tour des quartiers pour recueillir nos avis afin de procéder au bon démarrage des travaux de remblayage, cela serait une insulte à notre intelligence. C’est triste et regrettable à la fois de voir notre chère Bargny en arriver là. Pauvres de nous !
Amandaw THIOMBANE