Abdoulaye Baldé a déposé, ce lundi matin, un document d’une trentaine de pages en plus des annexes et un rapport d’expertise de plus de 1000 pages au greffe de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Cela fait suite à la mise en demeure qui lui a été servie, le 11 juillet dernier par le Procureur spécial Alioune Ndao dans le cadre de la traque des biens mal acquis. L’ancien ministre d’Etat devait justifier l’origine licite de ses biens estimés à cinq (05) milliards de nos francs.
A sa sortie, le maire de Ziguinchor indique que « si ce n’est que le droit, si ce n’est que la justice, je suis très serein quant à l’issue de ce processus qui a été enclenché depuis le 11 juillet dernier ». Car, dit-il : « J’ai fourni des réponses sur l’ensemble des questions qui m’ont été posées. J’ai apporté des preuves sur l’ensemble des accusations parfois infondées portées sur ma personne ». « Maintenant la balle reste dans le camp du procureur spécial prés la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour dire le droit. Lorsqu’il me mettait en demeure, il m’a dit lui-même que ce ne sont pas ses conclusions. Il m’a dit que ce sont des conclusions de la gendarmerie. Donc j’ai apporté une réponse au rapport de la gendarmerie. Je considère que j’ai prouvé l’origine licite de mes biens qui sont inférieurs » des cinq (05) milliards de nos francs ».
Donc, espère-t-il : « je ne pense pas que si ce n’est que le droit qui doit être dit, je ne pense pas que ce dossier ira au-delà de cette phase. Maintenant si on veut amener de la politique ou de l’amalgame, cette procédure ira au-delà ».
iGFM
A sa sortie, le maire de Ziguinchor indique que « si ce n’est que le droit, si ce n’est que la justice, je suis très serein quant à l’issue de ce processus qui a été enclenché depuis le 11 juillet dernier ». Car, dit-il : « J’ai fourni des réponses sur l’ensemble des questions qui m’ont été posées. J’ai apporté des preuves sur l’ensemble des accusations parfois infondées portées sur ma personne ». « Maintenant la balle reste dans le camp du procureur spécial prés la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour dire le droit. Lorsqu’il me mettait en demeure, il m’a dit lui-même que ce ne sont pas ses conclusions. Il m’a dit que ce sont des conclusions de la gendarmerie. Donc j’ai apporté une réponse au rapport de la gendarmerie. Je considère que j’ai prouvé l’origine licite de mes biens qui sont inférieurs » des cinq (05) milliards de nos francs ».
Donc, espère-t-il : « je ne pense pas que si ce n’est que le droit qui doit être dit, je ne pense pas que ce dossier ira au-delà de cette phase. Maintenant si on veut amener de la politique ou de l’amalgame, cette procédure ira au-delà ».
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