Selon Moustapha Diop, le démarrage des activités du REFEME s’explique par l’intérêt que le Président Macky Sall accorde au secteur de l’entreprenariat féminin, « un vivier de croissance et porteur de développement ». M. Diop rappelle que le développement et la promotion de la condition économique des femmes occupent une position centrale dans le Plan Sénégal Emergent.
Aussi, précise-t-il, le PSE accorde une place centrale au secteur privé qui joue un rôle déterminant dans la mise en œuvre des projets structurants en termes de création de richesses et d’emplois. Le ministre délégué annonce qu’un accent particulier sera mis sur l’accompagnement de la très petite, la petite et la moyenne entreprise des femmes qui « constituent un socle pour le développement de la production ».
« L’entreprenariat féminin contribue indéniablement au bien-être du pays et, par conséquent, à l’atteinte des objectifs du PSE », dit-il.
Selon Moustapha Diop, l’urgence est dans la mise en place d’un dispositif opérationnel permettant au plus grand nombre de femmes entrepreneures de produire plus de richesses et d’emplois, pour améliorer son niveau de vie.
Le ministre délégué a fait savoir que le département de la Microfinance et de l’Economie solidaire mettra à la disposition des Femmes du Réseau des financements conséquents susceptibles de réduire rapidement la prévalence de la pauvreté et de l’indigence chez les bénéficiaires.
« A terme, notre objectif est de faire des membres du réseau, les fers de lance de notre émergence économique sur les principes de base de l’économie sociale et solidaire dont les vertus cardinales viennent d’être portées, au grand jour, par la création d’un département ministériel », annonce celui qui est depuis juillet dernier le nouveau maire de Louga.
Pour le ministre de la Femme, de l’Enfance et de la Famille, l’objectif du Réseau des Femmes pour l’Emergence est de faciliter l’accès au crédit pour les femmes et de rendre plus souple le financement de projets de développement portés par les groupements et les GIE de femmes. « Aucun secteur ne sera négligé, mais un accent particulier sera mis sur les projets portant sur des filières à forte valeur ajoutée comme l’agriculture et l’élevage », explique Mariama Sarr.
La cérémonie a aussi vu la présence des ministres Marième Badiane et Fatou Tambédou, des députés, du préfet de Pikine et d’autres responsables de l’Alliance pour la République (APR).
Aussi, précise-t-il, le PSE accorde une place centrale au secteur privé qui joue un rôle déterminant dans la mise en œuvre des projets structurants en termes de création de richesses et d’emplois. Le ministre délégué annonce qu’un accent particulier sera mis sur l’accompagnement de la très petite, la petite et la moyenne entreprise des femmes qui « constituent un socle pour le développement de la production ».
« L’entreprenariat féminin contribue indéniablement au bien-être du pays et, par conséquent, à l’atteinte des objectifs du PSE », dit-il.
Selon Moustapha Diop, l’urgence est dans la mise en place d’un dispositif opérationnel permettant au plus grand nombre de femmes entrepreneures de produire plus de richesses et d’emplois, pour améliorer son niveau de vie.
Le ministre délégué a fait savoir que le département de la Microfinance et de l’Economie solidaire mettra à la disposition des Femmes du Réseau des financements conséquents susceptibles de réduire rapidement la prévalence de la pauvreté et de l’indigence chez les bénéficiaires.
« A terme, notre objectif est de faire des membres du réseau, les fers de lance de notre émergence économique sur les principes de base de l’économie sociale et solidaire dont les vertus cardinales viennent d’être portées, au grand jour, par la création d’un département ministériel », annonce celui qui est depuis juillet dernier le nouveau maire de Louga.
Pour le ministre de la Femme, de l’Enfance et de la Famille, l’objectif du Réseau des Femmes pour l’Emergence est de faciliter l’accès au crédit pour les femmes et de rendre plus souple le financement de projets de développement portés par les groupements et les GIE de femmes. « Aucun secteur ne sera négligé, mais un accent particulier sera mis sur les projets portant sur des filières à forte valeur ajoutée comme l’agriculture et l’élevage », explique Mariama Sarr.
La cérémonie a aussi vu la présence des ministres Marième Badiane et Fatou Tambédou, des députés, du préfet de Pikine et d’autres responsables de l’Alliance pour la République (APR).