Incendie à Saly Portudal : L’Hôtel Lamantin Beach et la Résidence du port dévorés par les flammes
Un incendie d’une rare violence s’est déclaré vers 13 heures 30 minutes à la Station balnéaire de Saly Portudal. Il ne reste que des murs calcinés à l’hôtel Lamantin Beach, à la Résidence du Port et à la résidence Mangrove.
Les 132 chambres, le bar, les salles de conférence de l’hôtel Lamantin Beach, l’hôtel la Résidence et la Résidence la Mangrove, ont tous été emportés par les flammes d’un incendie qui s’est déclaré aujourd’hui en début d’après midi.
Un incendie d’une rare violence s’est déclaré vers 13 heures 30 minutes à la Station balnéaire de Saly Portudal. Il ne reste que des murs calcinés à l’hôtel Lamantin Beach, à la Résidence du Port et à la résidence Mangrove.
Les 132 chambres, le bar, les salles de conférence de l’hôtel Lamantin Beach, l’hôtel la Résidence et la Résidence la Mangrove, ont tous été emportés par les flammes d’un incendie qui s’est déclaré aujourd’hui en début d’après midi.
Les sapeurs pompiers et la compagnie de la Gendarmerie du Centre ouest s’activent depuis les coups de 13 heures 30 mn. Mais jusque-là (17 heures passées, ndlr), ils n’arrivent pas à éteindre le feu. Des renforts sont venus s’ajouter aux éléments de sapeurs pompiers et des gendarmes sur place.
Les soldats du feu avec leurs moyens dérisoires s’activent toujours autour des flammes, tandis que les gendarmes et les voisins évacuent les bagages et autres meubles dans les hôtels et des résidences environnants.
S’agissant de l’origine de l’incendie, le gérant et le conseil juridique de l’hôtel le Lamantin Beach indexent les gardiens de la résidence du chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade. Selon eux : « l’incendie est parti quand les gardiens de ladite résidence ont mis le feu sur la paille séchée qu’ils ont rassemblée au cours d’une opération de nettoyage ».
Les soldats du feu avec leurs moyens dérisoires s’activent toujours autour des flammes, tandis que les gendarmes et les voisins évacuent les bagages et autres meubles dans les hôtels et des résidences environnants.
S’agissant de l’origine de l’incendie, le gérant et le conseil juridique de l’hôtel le Lamantin Beach indexent les gardiens de la résidence du chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade. Selon eux : « l’incendie est parti quand les gardiens de ladite résidence ont mis le feu sur la paille séchée qu’ils ont rassemblée au cours d’une opération de nettoyage ».
Les pertes se chiffrent à plusieurs milliards de nos francs. C’est le bilan provisoire avancé par le gérant et le conseil juridique qui déclarent qu’à cet instant, « aucune perte en vie humaine n’a été notée ».
L’on apprend également que les gardiens mis en cause ont été arrêtés par la gendarmerie. Les touristes européens qui semblent désemparés « exigent de lourdes sanctions ». Aussi, ils disent attendre « leur assurance pour se faire dédommager ».
Incendie au lamantin Beach : le feu est parti de la villa de Me Wade, ses gardiens arrêtés
Le gérant de l’hôtel, un certain Flilibert, a confirmé l’information à nos confrères de la RFM. Les herbes brûlées par les gardiens avec le vent ont été à l’origine du feu. Des gardiens arrêtés par la police selon sud FM. Rappelons que les pertes sont estimées à plusieurs milliards.
Les propriétaires et travailleurs ont dénoncé le manque de moyens des sapeurs pompiers qui ont souffert pour arrêter un incendie qui continuait ses ravages jusqu’aux environs de 17 heures. Des sapeurs finalement soutenus par des collègues venus de Thiès et Dakar.
Des propriétaires en désespoir qui comptent aujourd’hui sur les assurances pour se relancer comme aussi des travailleurs qui ont vu aujourd’hui leur outil de travail réduit en cendre.
politicosn/Ferloo
Les propriétaires et travailleurs ont dénoncé le manque de moyens des sapeurs pompiers qui ont souffert pour arrêter un incendie qui continuait ses ravages jusqu’aux environs de 17 heures. Des sapeurs finalement soutenus par des collègues venus de Thiès et Dakar.
Des propriétaires en désespoir qui comptent aujourd’hui sur les assurances pour se relancer comme aussi des travailleurs qui ont vu aujourd’hui leur outil de travail réduit en cendre.
politicosn/Ferloo