Karim Wade, souvent cité comme successeur potentiel de son père, Abdoulaye Wade, a été investi sur les listes de la coalition au pouvoir et, selon de nombreux observateurs, il pourrait briguer le poste de maire de Dakar-Ville.
Il s'agissait de sa première participation à la campagne électorale ouverte début mars.
A bord d'un 4X4, le point levé en signe de victoire, Karim Wade est apparu en boubou blanc au marché Sandaga, au centre de Dakar, sous les vivats des militants de la coalition au pouvoir.
"Karim, Karim", criaient ses partisans au milieu de voitures à l'effigie du fils du président sénégalais, 40 ans, conseiller de son père Abdoulaye Wade, âgé de 82 ans, au pouvoir depuis 2000 et réélu en 2007 pour cinq ans.
Karim Wade, qui était accompagné du président du groupe parlementaire de la coalition au pouvoir, Doudou Wade, neveu du président Wade, n'a pas fait de déclaration.
Alors qu'il saluait la foule, de nombreux commerçants l'ont hué en scandant: "Sath la. Sath la. Na dem": C'est un voleur. C'est un voleur. Qu'il parte", en langue ouolof, la plus parlée au Sénégal.
Il est le président de la Génération du concret, mouvement politique créé en novembre 2006 avec des proches du chef de l'Etat sénégalais, parmi lesquels on compte Abdoulaye Baldé, secrétaire général de la présidence de la République, ainsi qu'Hassan Bâ, en charge de la communication présidentielle.
Les élections municipales du 22 mars doivent permettre d'élire des conseillers ruraux, municipaux et régionaux à travers le pays.
Elles marquent le retour dans le jeu politique des principaux partis d'opposition qui avaient boycotté les deux derniers scrutins législatif et sénatorial pour protester contre des fraudes présumées à la présidentielle de 2007 remportée par le président Wade.
Le président Wade s'est plusieurs défendu de vouloir imposer son fils Karim pour lui succéder à la tête de l'Etat du Sénégal.
Il s'agissait de sa première participation à la campagne électorale ouverte début mars.
A bord d'un 4X4, le point levé en signe de victoire, Karim Wade est apparu en boubou blanc au marché Sandaga, au centre de Dakar, sous les vivats des militants de la coalition au pouvoir.
"Karim, Karim", criaient ses partisans au milieu de voitures à l'effigie du fils du président sénégalais, 40 ans, conseiller de son père Abdoulaye Wade, âgé de 82 ans, au pouvoir depuis 2000 et réélu en 2007 pour cinq ans.
Karim Wade, qui était accompagné du président du groupe parlementaire de la coalition au pouvoir, Doudou Wade, neveu du président Wade, n'a pas fait de déclaration.
Alors qu'il saluait la foule, de nombreux commerçants l'ont hué en scandant: "Sath la. Sath la. Na dem": C'est un voleur. C'est un voleur. Qu'il parte", en langue ouolof, la plus parlée au Sénégal.
Il est le président de la Génération du concret, mouvement politique créé en novembre 2006 avec des proches du chef de l'Etat sénégalais, parmi lesquels on compte Abdoulaye Baldé, secrétaire général de la présidence de la République, ainsi qu'Hassan Bâ, en charge de la communication présidentielle.
Les élections municipales du 22 mars doivent permettre d'élire des conseillers ruraux, municipaux et régionaux à travers le pays.
Elles marquent le retour dans le jeu politique des principaux partis d'opposition qui avaient boycotté les deux derniers scrutins législatif et sénatorial pour protester contre des fraudes présumées à la présidentielle de 2007 remportée par le président Wade.
Le président Wade s'est plusieurs défendu de vouloir imposer son fils Karim pour lui succéder à la tête de l'Etat du Sénégal.