Ainsi, dans son exorde, ce dossier n’a pas manqué de souligner que le visage du Sénégal a indubitablement changé ces dix dernières années. Un monde citadin, avec des citoyens qui vivent outrageusement et prompts à copier les manières européennes.
La société sénégalaise, en pleine mutation, s’est ainsi littéralement transformée sans que les autorités ne parviennent à mettre des garde-fous pour protéger une jeunesse devenue vulnérable. On assiste, sans sourciller, à la chute des valeurs fondamentales.
Avec le développement de l’internet, devenu accessible aux jeunes, l’Etat du Sénégal n’a pas jugé utile de protéger cette couche très fragile face aux dangers du net, qui n’a pas que des avantages. En effet en un clic, des adolescents se retrouvent au centre d’un village planétaire avec des bonnes et des mauvaises habitudes.
De l’autre côté, avec les boîtes de nuit, les auberges et autres lieux paradisiaques ou de déperdition, des jeunes filles sont facilement enrôlés et mises au service de détraqués sexuels qui en usent et en abusent à volonté, avant de les transformer en loques humaines avec l’usage abusif de certains stupéfiants. De sorte qu’elles sont nombreuses à tomber dans le piège, en se retrouvant dans un bonheur qu’elles croient éternel avant de se rendre compte qu’elles sont dans une prison dorée.
D’autres, transformées en jouets sexuels, subissent la force financière de lesbiennes aussi puissantes que les hommes. Et avec l’argent facile et le luxe tapageur qu’on leur fait miroiter, rares sont celles qui résistent. Des victimes qui, pour la plus part d’innocentes adolescentes, changent facilement d’orientation sexuelle.
Comme avec les garçons, de puissants réseaux tirent les ficelles et promettent à ces mineures un avenir radieux.
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Ainsi s’installent, piano piano (doucement en italien), l’homosexualité, les violences sexuelles, l’alcool, la drogue etc. Pendant ce temps, les familles sont dans le désarroi, et l’Etat reste impuissant en bandant les yeux, refusant de voir l’innommable. Mais jusqu’à quand ?
N’oublions pas que la jeunesse est le levain de la nation. Et une jeunesse malsaine et pourrie va charrier, plus tard, une nation au fond du gouffre.
(1) Piano piano : doucement ou petit à petit en italien
© Gawlo.net
La société sénégalaise, en pleine mutation, s’est ainsi littéralement transformée sans que les autorités ne parviennent à mettre des garde-fous pour protéger une jeunesse devenue vulnérable. On assiste, sans sourciller, à la chute des valeurs fondamentales.
Avec le développement de l’internet, devenu accessible aux jeunes, l’Etat du Sénégal n’a pas jugé utile de protéger cette couche très fragile face aux dangers du net, qui n’a pas que des avantages. En effet en un clic, des adolescents se retrouvent au centre d’un village planétaire avec des bonnes et des mauvaises habitudes.
De l’autre côté, avec les boîtes de nuit, les auberges et autres lieux paradisiaques ou de déperdition, des jeunes filles sont facilement enrôlés et mises au service de détraqués sexuels qui en usent et en abusent à volonté, avant de les transformer en loques humaines avec l’usage abusif de certains stupéfiants. De sorte qu’elles sont nombreuses à tomber dans le piège, en se retrouvant dans un bonheur qu’elles croient éternel avant de se rendre compte qu’elles sont dans une prison dorée.
D’autres, transformées en jouets sexuels, subissent la force financière de lesbiennes aussi puissantes que les hommes. Et avec l’argent facile et le luxe tapageur qu’on leur fait miroiter, rares sont celles qui résistent. Des victimes qui, pour la plus part d’innocentes adolescentes, changent facilement d’orientation sexuelle.
Comme avec les garçons, de puissants réseaux tirent les ficelles et promettent à ces mineures un avenir radieux.
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Ainsi s’installent, piano piano (doucement en italien), l’homosexualité, les violences sexuelles, l’alcool, la drogue etc. Pendant ce temps, les familles sont dans le désarroi, et l’Etat reste impuissant en bandant les yeux, refusant de voir l’innommable. Mais jusqu’à quand ?
N’oublions pas que la jeunesse est le levain de la nation. Et une jeunesse malsaine et pourrie va charrier, plus tard, une nation au fond du gouffre.
(1) Piano piano : doucement ou petit à petit en italien
© Gawlo.net