La démission du Directeur technique national (DTN) Amsatou Fall, survenue lundi, peut-être considérée comme l’un des dégâts collatéraux du renoncement du technicien français à la sélection nationale.
La volte-face de Pierre Lechantre a ébranlé l’instance dirigeante du football national, tant le président de la FSF en personne, Me Augustin Senghor, a reconnu, samedi dans un entretien publié dans le quotidien La Tribune, l’échec de sa structure dans la gestion de ce dossier.
Même si la tête du DTN était sous la guillotine après un entretien dans le quotidien Stades, dans lequel il déclarait ne pas partager le choix porté sur Lechantre, la démission de Fall est loin d’être fortuite.
Le DTN a présenté sa démission à un moment où l’instance dirigeante du football national est attaquée de toutes parts, aussi bien pour sa gestion du dossier Amara Traoré que pour le choix de son successeur, qui a fini par jeter l’éponge.
A un peu plus d’un an de la fin de leur mandat, les fédéraux, qui étaient jusque-là épargnés des critiques, doivent faire face à une campagne anticipée.
Malgré les qualifications historiques des Cadets à la CAN 2011 et aux Jeux olympiques (JO) de Londres 2012, ils risquent de traîner pendant longtemps le boulet de la volte-face du technicien français. Les qualifications au Mondial 2014 arrivent dans moins de trois semaines et le contexte ne leur est pas du tout favorable, malgré un potentiel de joueurs parmi les plus intéressants du continent africain.
Des fissures sont apparues au cœur même de l’instance dirigeante du football national et rien ne sera plus comme avant pour Me Augustin Senghor et son équipe, qui avaient réussi à fédérer autour d’eux le monde du football. Pas seulement local, le travail du président de la FSF ayant été reconnu sur le plan continental et mondial. En témoignent ses nominations aux commissions juridiques de la CAF et de la FIFA.
Après les compétitions locales menées à terme et des éliminatoires de la CAN 2012 marquées du sceau du succès, les fédéraux pensaient avoir réussi le plus dur.
Mais, il y a eu l’échec de Bata et la volte-face de Lechantre pour tout remettre en question.
SOURCE:P.-S.
SD/ESF
La volte-face de Pierre Lechantre a ébranlé l’instance dirigeante du football national, tant le président de la FSF en personne, Me Augustin Senghor, a reconnu, samedi dans un entretien publié dans le quotidien La Tribune, l’échec de sa structure dans la gestion de ce dossier.
Même si la tête du DTN était sous la guillotine après un entretien dans le quotidien Stades, dans lequel il déclarait ne pas partager le choix porté sur Lechantre, la démission de Fall est loin d’être fortuite.
Le DTN a présenté sa démission à un moment où l’instance dirigeante du football national est attaquée de toutes parts, aussi bien pour sa gestion du dossier Amara Traoré que pour le choix de son successeur, qui a fini par jeter l’éponge.
A un peu plus d’un an de la fin de leur mandat, les fédéraux, qui étaient jusque-là épargnés des critiques, doivent faire face à une campagne anticipée.
Malgré les qualifications historiques des Cadets à la CAN 2011 et aux Jeux olympiques (JO) de Londres 2012, ils risquent de traîner pendant longtemps le boulet de la volte-face du technicien français. Les qualifications au Mondial 2014 arrivent dans moins de trois semaines et le contexte ne leur est pas du tout favorable, malgré un potentiel de joueurs parmi les plus intéressants du continent africain.
Des fissures sont apparues au cœur même de l’instance dirigeante du football national et rien ne sera plus comme avant pour Me Augustin Senghor et son équipe, qui avaient réussi à fédérer autour d’eux le monde du football. Pas seulement local, le travail du président de la FSF ayant été reconnu sur le plan continental et mondial. En témoignent ses nominations aux commissions juridiques de la CAF et de la FIFA.
Après les compétitions locales menées à terme et des éliminatoires de la CAN 2012 marquées du sceau du succès, les fédéraux pensaient avoir réussi le plus dur.
Mais, il y a eu l’échec de Bata et la volte-face de Lechantre pour tout remettre en question.
SOURCE:P.-S.
SD/ESF