Du vivant de sa défunte épouse, avec qui il s’est marié en 2012, Alassane Wade aurait violé et procédé à des attouchements sur les 4 filles de cette dernière, à savoir A. S. Ngom (17 ans), F. Ngom (14 ans), A. Ngom (13 ans) et A. S. Ngom (20 ans), après les avoir sévèrement battues. C’est ce pourquoi, en tout cas, il a été jugé, hier, devant le Tribunal de Grande instance de Pikine. Le pot-aux-roses a été découvert par la nommée Aida Sène, dernière épouse du prévenu, renseigne les "Echos".
En effet, chassée à deux reprises de leur chambre conjugale par son époux, qui avait prétexté qu’il devait discuter avec sa belle-fille A. Ngom, elle est rentrée de nouveau dans la chambre, car elle avait des doutes sur les intentions de ce dernier. C’est alors qu’elle a surpris son époux couché sur le lit froissé pendant que A. Ngom réajustait son soutien-gorge. Elle eut alors un échange de propos aigres-doux avec son mari et, très en colère, décide de rentrer à Thiès.
C’est sur ces entrefaites que, le 21 mars dernier, les éléments de la police de Thiaroye ont été informés et saisis d’une plainte de la part de Fatou Guèye, tante maternelle des enfants. Interpellé, Alassane Wade nie farouchement. Seulement, des vidéos pornographiques ont été retrouvées sans son téléphone portable.
Inculpé pour viol commis par une personne ayant autorité sur la victime, tentative de viol et pédophilie, Alassane Wade a été attrait hier devant le Tribunal de Grande instance de Pikine. Le prévenu âgé de 54 ans a persisté dans ses dénégations. Selon lui, son actuelle femme ne supporte pas les enfants de sa femme et de leur tante. S’agissant des images vidéo, il minimise, soutenant qu’il s’agit de simples images vidéo.
Par ailleurs, le procureur a requis la peine de 10 ans ferme à l’encontre du prévenu, qu’il qualifie de « sadique ». Selon le représentant du parquet, les certificats médicaux attestent que deux des filles ont été déflorées, pas les deux autres. « Alassane a épousé leur mère, mais il vit maritalement avec les 4 filles. C’est assez lâche et moche », peste le représentant du parquet.
En effet, chassée à deux reprises de leur chambre conjugale par son époux, qui avait prétexté qu’il devait discuter avec sa belle-fille A. Ngom, elle est rentrée de nouveau dans la chambre, car elle avait des doutes sur les intentions de ce dernier. C’est alors qu’elle a surpris son époux couché sur le lit froissé pendant que A. Ngom réajustait son soutien-gorge. Elle eut alors un échange de propos aigres-doux avec son mari et, très en colère, décide de rentrer à Thiès.
C’est sur ces entrefaites que, le 21 mars dernier, les éléments de la police de Thiaroye ont été informés et saisis d’une plainte de la part de Fatou Guèye, tante maternelle des enfants. Interpellé, Alassane Wade nie farouchement. Seulement, des vidéos pornographiques ont été retrouvées sans son téléphone portable.
Inculpé pour viol commis par une personne ayant autorité sur la victime, tentative de viol et pédophilie, Alassane Wade a été attrait hier devant le Tribunal de Grande instance de Pikine. Le prévenu âgé de 54 ans a persisté dans ses dénégations. Selon lui, son actuelle femme ne supporte pas les enfants de sa femme et de leur tante. S’agissant des images vidéo, il minimise, soutenant qu’il s’agit de simples images vidéo.
Par ailleurs, le procureur a requis la peine de 10 ans ferme à l’encontre du prévenu, qu’il qualifie de « sadique ». Selon le représentant du parquet, les certificats médicaux attestent que deux des filles ont été déflorées, pas les deux autres. « Alassane a épousé leur mère, mais il vit maritalement avec les 4 filles. C’est assez lâche et moche », peste le représentant du parquet.