Après avoir reçu des Sms contenant des propos injurieux, Me Nafissatou Diop Cissé a déposé jeudi dernier une plainte auprès du procureur de la République, Ousmane Diagne. 24 heures après, ce dernier saisit la section de Recherches de la Gendarmerie nationale basée à Colobane et dirigée par le lieutenant-colonel Moussa Fall. Ainsi, cette section a été mise en branle par le biais d’une réquisition à personne qualifiée (la Sonatel mobile).
Selon des sources sûres, les techniciens de la Sonatel mobile ont pu établir que les Sms avaient été envoyés du portable de l’ex-sénatrice, Mme Aïda Ndiongue. Ce qui a valu à cette sénatrice libérale, deux convocations envoyées dans la soirée d’avant-hier et dans la journée d’hier par la section de Recherches de la Gendarmerie nationale. En effet, la sénatrice a été entendue deux fois de suite par ce même démembrement de la Gendarmerie nationale sur procès-verbal pour une «affaire la concernant».
D’après des sources contactées par le journal Le Quotidien, une fois devant les enquêteurs de la section de Recherches de la Gendarmerie nationale, Mme Aïda Ndiongue avoue que les messages écrits qu’avait reçus Me Nafisatou Diop Cissé avaient été envoyés par ses deux nièces. Ainsi, une source proche de l’enquête est dubitative devant les versions de la sénatrice.
Néanmoins, les gendarmes ont convoqué les deux nièces de la sénatrice Mme Aïda Ndiongue pour les entendre. D’après des sources sûres, les propos de Mme Ndiongue ont été battus en brèche par ses nièces.
Nul doute que l’affaire est loin de connaître son épilogue car, Me Nafisatou Diop Cissé, qui s’est livrée à un déballage de sa colère, ne manquera pas de s’en prendre vivement à la sénatrice. Elle veut que la lumière soit faite sur cette affaire évoquée par nos confrères du journal L’Office dans leur édition d’hier.
A noter que certaines autorités étatiques se sont levées pour se livrer à un lobbying afin d’étouffer cette affaire opposant Me Nafisatou Diop Cissé à la sénatrice, Mme Aïda Ndiongue. Cette dernière, jointe par téléphone hier par Le Quotidien, est catégorique sur la question. «Je ne suis pas au courant de cette chose. Je n’ai rien à dire à propos de cette affaire», lance Mme Ndiongue.
Quant à la notaire, elle refuse de s’exprimer sur l’affaire pour des raisons liées au secret de l’enquête.
Stagiaire
Selon des sources sûres, les techniciens de la Sonatel mobile ont pu établir que les Sms avaient été envoyés du portable de l’ex-sénatrice, Mme Aïda Ndiongue. Ce qui a valu à cette sénatrice libérale, deux convocations envoyées dans la soirée d’avant-hier et dans la journée d’hier par la section de Recherches de la Gendarmerie nationale. En effet, la sénatrice a été entendue deux fois de suite par ce même démembrement de la Gendarmerie nationale sur procès-verbal pour une «affaire la concernant».
D’après des sources contactées par le journal Le Quotidien, une fois devant les enquêteurs de la section de Recherches de la Gendarmerie nationale, Mme Aïda Ndiongue avoue que les messages écrits qu’avait reçus Me Nafisatou Diop Cissé avaient été envoyés par ses deux nièces. Ainsi, une source proche de l’enquête est dubitative devant les versions de la sénatrice.
Néanmoins, les gendarmes ont convoqué les deux nièces de la sénatrice Mme Aïda Ndiongue pour les entendre. D’après des sources sûres, les propos de Mme Ndiongue ont été battus en brèche par ses nièces.
Nul doute que l’affaire est loin de connaître son épilogue car, Me Nafisatou Diop Cissé, qui s’est livrée à un déballage de sa colère, ne manquera pas de s’en prendre vivement à la sénatrice. Elle veut que la lumière soit faite sur cette affaire évoquée par nos confrères du journal L’Office dans leur édition d’hier.
A noter que certaines autorités étatiques se sont levées pour se livrer à un lobbying afin d’étouffer cette affaire opposant Me Nafisatou Diop Cissé à la sénatrice, Mme Aïda Ndiongue. Cette dernière, jointe par téléphone hier par Le Quotidien, est catégorique sur la question. «Je ne suis pas au courant de cette chose. Je n’ai rien à dire à propos de cette affaire», lance Mme Ndiongue.
Quant à la notaire, elle refuse de s’exprimer sur l’affaire pour des raisons liées au secret de l’enquête.
Stagiaire