Les mesures restrictives ont profondément impacté négativement ce secteur qui finance environ plus de 3,5 millions de personnes actives, dont 80% évoluent dans le secteur informel.
Les difficultés se sont essentiellement constatées sur les liquidités et le non remboursement dû au problème de mobilité des clients des prêts à cause de l'état d'urgence. Ainsi, à travers un exposé, l'Association Professionnelle des SFD, a estimé un besoin en liquidité à hauteur 104 319 483 442 FCfa, pour combler les charges d'exploitation des structures, disposer d'un fond de garantie...
Toutefois, les acteurs, sans manquer de rappeler l'importance qu'il faut donner à la microfinance dans la politique économique de l'État, ont apprécié à sa juste valeur tous les efforts et avancés consentis par le gouvernement du Sénégal, à travers son ministère de la Microfinance, de l'Economie sociale et solidaire, qui implique dans ses réflexions et travaux, les différentes couches du secteur.
Initiatrice de la rencontre, le Ministre Zahra Iyane Thiam Diop s'est beaucoup réjouie de la démarche des SFD durant toute la période vécue avec la pandémie. " Malgré toutes les difficultés rencontrées, vous avez su avec un esprit patriotique, garder votre sérénité et votre courage, car non seulement vous n'êtes jamais sortis pour réclamer quoi que ce soit mais vous vous êtes sacrifiés pour garder tous les travailleurs, ce qui montre une fois de plus, le caractère social et solidaire du secteur de la microfinance", affirme-t-elle.
Elle ajoute qu'à travers le Fonds national de la microfinance ( FONAMI), son département va continuer à accompagner les SFD qui constituent le véritable tremplin de développement économique tant souhaité par Son Excellence le président de la République Macky Sall, dans la mise en œuvre du plan Sénégal émergent.
Comme de coutume, le Ministre Zahra Iyane Thiam a rappelé aux acteurs l'importance de continuer le combat contre l'ennemi commun, à savoir le coronavirus. Elle déclare ainsi " qu'il est toujours primordial dans ces types de rencontres, de rappeler à tout le monde, que la pandémie est toujours présente dans le pays et qu'il est la responsabilité de tout un chacun, de faire de cette lutte, la sienne, car ses effets néfastes ne distinguent aucune classe sociale et ne fait fi d'aucun secteur de l'activité économique du pays .
Les difficultés se sont essentiellement constatées sur les liquidités et le non remboursement dû au problème de mobilité des clients des prêts à cause de l'état d'urgence. Ainsi, à travers un exposé, l'Association Professionnelle des SFD, a estimé un besoin en liquidité à hauteur 104 319 483 442 FCfa, pour combler les charges d'exploitation des structures, disposer d'un fond de garantie...
Toutefois, les acteurs, sans manquer de rappeler l'importance qu'il faut donner à la microfinance dans la politique économique de l'État, ont apprécié à sa juste valeur tous les efforts et avancés consentis par le gouvernement du Sénégal, à travers son ministère de la Microfinance, de l'Economie sociale et solidaire, qui implique dans ses réflexions et travaux, les différentes couches du secteur.
Initiatrice de la rencontre, le Ministre Zahra Iyane Thiam Diop s'est beaucoup réjouie de la démarche des SFD durant toute la période vécue avec la pandémie. " Malgré toutes les difficultés rencontrées, vous avez su avec un esprit patriotique, garder votre sérénité et votre courage, car non seulement vous n'êtes jamais sortis pour réclamer quoi que ce soit mais vous vous êtes sacrifiés pour garder tous les travailleurs, ce qui montre une fois de plus, le caractère social et solidaire du secteur de la microfinance", affirme-t-elle.
Elle ajoute qu'à travers le Fonds national de la microfinance ( FONAMI), son département va continuer à accompagner les SFD qui constituent le véritable tremplin de développement économique tant souhaité par Son Excellence le président de la République Macky Sall, dans la mise en œuvre du plan Sénégal émergent.
Comme de coutume, le Ministre Zahra Iyane Thiam a rappelé aux acteurs l'importance de continuer le combat contre l'ennemi commun, à savoir le coronavirus. Elle déclare ainsi " qu'il est toujours primordial dans ces types de rencontres, de rappeler à tout le monde, que la pandémie est toujours présente dans le pays et qu'il est la responsabilité de tout un chacun, de faire de cette lutte, la sienne, car ses effets néfastes ne distinguent aucune classe sociale et ne fait fi d'aucun secteur de l'activité économique du pays .