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Plus d’une trentaine de pays en conclave à Saly : Pour aider les paysans à s’adopter à un climat qui change

Plus d’une trentaine de pays sont en conclave à Saly (Mbour) pour réfléchir sur le comment aider les paysans à d’adapter à un climat qui ne cesse de changer et se dégrader. Cette rencontre organisée dans le cadre du programme de recherche sur le changement climatique, l’agriculture et la sécurité alimentaire (Ccafs) du consortium Group on International Agricultur Reserach (Cgiar), en collaboration avec l’organisation mondiale de la météorologie a, justement pour objectif principal, de mettre toute la science du climat au service des paysans et agriculteur des pays de l’Afrique et d’Asie du Sud Est.


Rédigé par leral.net le Mercredi 12 Décembre 2012 à 01:04 | | 1 commentaire(s)|

Plus d’une trentaine de pays en conclave à Saly : Pour aider les paysans à s’adopter à un climat qui change
Le Docteur Arame Tall, Directrice du Programme de recherche sur le changement climatique agriculture et la sécurité alimentaire, l'objectif de cet atelier international est de mettre en commun toutes les expériences ressorties d’Afrique et d’Asie du Sud, pour aider et appuyer les paysans à s’adapter a un climat changeant. «Nous allons prendre à profit ces trois jours pour mettre les expériences d’une centaine de sommités en commun dans le domaine des disponibilités de service et d’informations climatiques, pour aider les paysans à s’adapter à un climat qui change ». Et d’ajouter que cette rencontre qui a pour thème «les services climatiques au service des Producteurs d’Afrique et d’Asie Australe pour une gestion effective des risques climatiques », regroupe 30 pays du monde pour aller vers des services climatiques au service des agriculteurs. Parce que dans un contexte d’incertitude croissante marquée par les effets de fluctuations climatiques et des phénomènes météorologiques extrêmes et la nécessité d’une information efficace sur le climat, avec des services consultatifs performants pouvant constituer un immense potentiel d’indicateurs, il est alors important que les paysans et les agriculteurs aient la bonne information. D’autant plus qu’à l’instar du Sénégal qui est à plus 75% de la population qui s’ active dans l’agriculture. D’où, explique Mme Tall le sens de ces études afin de mettre toute la science du climat disponible au service de ces paysans. Cette rencontre a vu la participation des paysans de Kaffrine pour mieux asseoir une politique d’imprégnation.

( Les News )


1.Posté par FocusActu le 12/12/2012 10:14 | Alerter
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