Plus de 150 poches de sang ont été collectées en l’espace de trois jours, par la Commission sociale de la coordination des étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor (sud), a déclaré vendredi son porte-parole du jour, Cheikh Dieng.
« Durant trois jours, nous avons organisé des journées de don de sang au sein de l’université Assane Seck de Ziguinchor. Les étudiants sont venus en masse, et nous avons pu collecter plus de 150 poches. Nous voulons sauver des vies », a-t-il dit à des journalistes.
Cheikh Dieng s’exprimait au terme de la clôture des journées de don de sang initiées par la commission sociale des étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor.
Ces journées dites de « la rentrée sociale », ont été organisées en collaboration avec le Centre régional des œuvres universitaires sociales de Ziguinchor (CROUS/Z).
Elles ont été mises à profit pour la sensibilisation et le dépistage de l’hépatique B.
Selon Cheikh Dieng, « les poches de sang collectées sont destinées aux populations de Ziguinchor. Elles seront remises au service régional de la santé de Ziguinchor ».
« Les étudiants ont fait durant ces trois jours, un geste noble et naturel. L’activité est très importante dans la mesure où c’est de sauver des vies. Nous avons été heureux d’être avec la coordination des étudiants pour organiser ce don de sang et aider à sauver des vies », s’est réjoui le chef du service administratif du CROUS de Ziguinchor, Omar Gningue.
Il a signalé que « l’autre objectif qui est associé à ce don de sang », est « la sensibilisation et le dépistage de l’hépatique B ». « À l’université Assane Seck de Ziguinchor, nous avons enregistré ces dernières années énormément de cas d’hépatique B. Et même des étudiants ont perdu la vie à cause de cette maladie », a déploré le chef du service administratif du CROUS de Ziguinchor.
Il estime que « le dépistage de l’hépatique B est une demande sociale de tous les étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor ».
« Toute personne qui s’est présentée pour donner son sang, a aussi bénéficié du dépistage de l’hépatique B. L’objectif, c’est de détecter des cas et anticiper », a expliqué M. Gningue.
Aps
« Durant trois jours, nous avons organisé des journées de don de sang au sein de l’université Assane Seck de Ziguinchor. Les étudiants sont venus en masse, et nous avons pu collecter plus de 150 poches. Nous voulons sauver des vies », a-t-il dit à des journalistes.
Cheikh Dieng s’exprimait au terme de la clôture des journées de don de sang initiées par la commission sociale des étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor.
Ces journées dites de « la rentrée sociale », ont été organisées en collaboration avec le Centre régional des œuvres universitaires sociales de Ziguinchor (CROUS/Z).
Elles ont été mises à profit pour la sensibilisation et le dépistage de l’hépatique B.
Selon Cheikh Dieng, « les poches de sang collectées sont destinées aux populations de Ziguinchor. Elles seront remises au service régional de la santé de Ziguinchor ».
« Les étudiants ont fait durant ces trois jours, un geste noble et naturel. L’activité est très importante dans la mesure où c’est de sauver des vies. Nous avons été heureux d’être avec la coordination des étudiants pour organiser ce don de sang et aider à sauver des vies », s’est réjoui le chef du service administratif du CROUS de Ziguinchor, Omar Gningue.
Il a signalé que « l’autre objectif qui est associé à ce don de sang », est « la sensibilisation et le dépistage de l’hépatique B ». « À l’université Assane Seck de Ziguinchor, nous avons enregistré ces dernières années énormément de cas d’hépatique B. Et même des étudiants ont perdu la vie à cause de cette maladie », a déploré le chef du service administratif du CROUS de Ziguinchor.
Il estime que « le dépistage de l’hépatique B est une demande sociale de tous les étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor ».
« Toute personne qui s’est présentée pour donner son sang, a aussi bénéficié du dépistage de l’hépatique B. L’objectif, c’est de détecter des cas et anticiper », a expliqué M. Gningue.
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