Hawa Bocar Ly Tall incarne la détermination, le courage et l'engagement pour le progrès de son terroir, son Fouta natal, la société sénégalaise et la diaspora en général. Figure inspirante, elle s'est distinguée par son combat pour l'autonomisation des femmes, la justice sociale et le développement de sa communauté. Dès son plus jeune âge, entre 15 et 16 ans, la fameuse Hawa Bocar Ly Tall, qui était récemment sous les projecteurs, a compris l'importance de l'éducation et du travail acharné.
Son parcours est marqué par des défis qu'elle a su relever avec résilience, devenant une référence dans son domaine. Son engagement pour l'égalité des chances et son plaidoyer en faveur des droits des femmes, font d’elle une figure emblématique du leadership féminin. Grâce à son sens du devoir et à sa détermination, elle a su briser les barrières et inspirer toute une génération dans son Fouta, à travers des associations. Elle est cofondatrice du rassemblement du Fouta au Canada, à travers des associations de jeunes, de femmes, de protection de l’environnement, de développement.
Militante du Rassemblement national démocratique (Rnd) et disciple de Cheikh Anta Diop et écrivaine, Hawa Bocar Ly Tall est une femme qui force le respect. «Je me suis engagée très jeune, à l’âge de 15 à 16 ans, dans des associations. D’ailleurs, je me suis associée à beaucoup de fils de mon terroir, pour créer l’association des jeunes de Saldé, à travers des activités de set-setal dans les villages comme Saldé, Galoya, etc. J’avoue que j’ai fait beaucoup de pays d’Amérique, comme les Etats-Unis, de l’Afrique du Nord, de l’Est etc., dans le cadre de mes activités professionnelles et d’engagement, telles que les mutilations génitales féminins, l’écologie, la protection de l’environnement, la biodiversité. Je me suis bien distinguée et la Gouverneure générale du Canada m’a nommée comme experte-conseil. Je l’ai accompagnée dans son voyage d’Etat en Afrique, notamment en Algérie, au Maroc, au Mali au Ghana et en Afrique du Sud», partage Hawa Bocar Ly Tall.
Docteur en sociologie, nommée récemment membre du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra), Mme Tall a créé le Réseau des femmes africaines Horizon 2015, pour aider à l’intégration des femmes africaines, qu’elles soient émigrantes ou réfugiées dans la société canadienne, notamment dans la société québécoise. Quand il y a eu les évènements de la Mauritanie en 1999, Hawa Bocar Ly s’est distinguée aussi de fort belle manière, à travers ses actions de soutien aux déportés et aux réfugiés. «J’étais là dans le cadre de mes recherches pour ma thèse. J’ai suspendu mes travaux de recherche pour créer une structure d’accueil et d’assistance pour les réfugiés, qui s’appelait l’Union des femmes de la Vallée du fleuve Sénégal, qui regroupe des Peuls, des Walo-Walo, des Soninkés.
Bref, tous les habitants de la Vallée du fleuve étaient représentés dans cette organisation. Et nous avons fait des levées de fonds et de produits alimentaires, pour venir au secours de ces populations», explique Mme Tall. Mieux, Hawa Bocar Ly Tall a dirigé une enquête dans la Vallée du fleuve Sénégal, pour identifier les besoins des populations locales. Elle a participé à la mise en place de projets générateurs de revenus pour l’autonomisation des femmes. A travers ces activités, plus de 40 millions FCfa ont été levés pour aider ces femmes en détresse.
Abou Kane
Son parcours est marqué par des défis qu'elle a su relever avec résilience, devenant une référence dans son domaine. Son engagement pour l'égalité des chances et son plaidoyer en faveur des droits des femmes, font d’elle une figure emblématique du leadership féminin. Grâce à son sens du devoir et à sa détermination, elle a su briser les barrières et inspirer toute une génération dans son Fouta, à travers des associations. Elle est cofondatrice du rassemblement du Fouta au Canada, à travers des associations de jeunes, de femmes, de protection de l’environnement, de développement.
Militante du Rassemblement national démocratique (Rnd) et disciple de Cheikh Anta Diop et écrivaine, Hawa Bocar Ly Tall est une femme qui force le respect. «Je me suis engagée très jeune, à l’âge de 15 à 16 ans, dans des associations. D’ailleurs, je me suis associée à beaucoup de fils de mon terroir, pour créer l’association des jeunes de Saldé, à travers des activités de set-setal dans les villages comme Saldé, Galoya, etc. J’avoue que j’ai fait beaucoup de pays d’Amérique, comme les Etats-Unis, de l’Afrique du Nord, de l’Est etc., dans le cadre de mes activités professionnelles et d’engagement, telles que les mutilations génitales féminins, l’écologie, la protection de l’environnement, la biodiversité. Je me suis bien distinguée et la Gouverneure générale du Canada m’a nommée comme experte-conseil. Je l’ai accompagnée dans son voyage d’Etat en Afrique, notamment en Algérie, au Maroc, au Mali au Ghana et en Afrique du Sud», partage Hawa Bocar Ly Tall.
Docteur en sociologie, nommée récemment membre du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra), Mme Tall a créé le Réseau des femmes africaines Horizon 2015, pour aider à l’intégration des femmes africaines, qu’elles soient émigrantes ou réfugiées dans la société canadienne, notamment dans la société québécoise. Quand il y a eu les évènements de la Mauritanie en 1999, Hawa Bocar Ly s’est distinguée aussi de fort belle manière, à travers ses actions de soutien aux déportés et aux réfugiés. «J’étais là dans le cadre de mes recherches pour ma thèse. J’ai suspendu mes travaux de recherche pour créer une structure d’accueil et d’assistance pour les réfugiés, qui s’appelait l’Union des femmes de la Vallée du fleuve Sénégal, qui regroupe des Peuls, des Walo-Walo, des Soninkés.
Bref, tous les habitants de la Vallée du fleuve étaient représentés dans cette organisation. Et nous avons fait des levées de fonds et de produits alimentaires, pour venir au secours de ces populations», explique Mme Tall. Mieux, Hawa Bocar Ly Tall a dirigé une enquête dans la Vallée du fleuve Sénégal, pour identifier les besoins des populations locales. Elle a participé à la mise en place de projets générateurs de revenus pour l’autonomisation des femmes. A travers ces activités, plus de 40 millions FCfa ont été levés pour aider ces femmes en détresse.
Abou Kane