ADHA se pose la question qui est de savoir : « pourquoi s’empresser de créer un autre conseil sans pour autant faire l’état des lieux des autres services qui existent déjà, comme le Conseil national de la jeunesse dont le mandat du bureau a pris fin en 2019, qui fonctionnent sans renouvellement des instances, et les nombreuses directions qui travaillent sur les questions de formation, de l’employabilité et d’insertion des jeunes.
Dans le communiqué reçu, l’ONG considère que ces entités ont déjà montré leurs limites. En réalité, les politiques de jeunesse sont élaborées par des adultes qui ne vivent pas les mêmes réalités que les jeunes. Ils en veulent pour preuve la recrudescence de la migration irrégulière, le chômage endémique et le désespoir total pour ne citer que cela.
C’est pourquoi Action pour les Droits Humains et l’Amitié recommande vivement :
Une mobilisation des corps de contrôles de l’Etat pour un audit holistique de la gestion du Conseil National de la Jeunesse, ainsi que toutes les directions qui travaillent sur les questions liées à la formation et l’insertion des jeunes ;
Une réforme urgente du Conseil National de la Jeunesse ;
Une large concertation de corporation des jeunes dans les 45 départements, regroupés suivant leurs sensibilités, et pour une véritable et efficace politique de jeunesse pour les jeunes et par les jeunes ;
De créer un organisme neutre et impersonnel, qui aura pour but de faire une interconnexion des regroupements de jeunes afin de les fédérer, de recueillir et de veiller sur la mise en œuvre de leurs travaux, conclusions et orientations.
Dans le communiqué reçu, l’ONG considère que ces entités ont déjà montré leurs limites. En réalité, les politiques de jeunesse sont élaborées par des adultes qui ne vivent pas les mêmes réalités que les jeunes. Ils en veulent pour preuve la recrudescence de la migration irrégulière, le chômage endémique et le désespoir total pour ne citer que cela.
C’est pourquoi Action pour les Droits Humains et l’Amitié recommande vivement :
Une mobilisation des corps de contrôles de l’Etat pour un audit holistique de la gestion du Conseil National de la Jeunesse, ainsi que toutes les directions qui travaillent sur les questions liées à la formation et l’insertion des jeunes ;
Une réforme urgente du Conseil National de la Jeunesse ;
Une large concertation de corporation des jeunes dans les 45 départements, regroupés suivant leurs sensibilités, et pour une véritable et efficace politique de jeunesse pour les jeunes et par les jeunes ;
De créer un organisme neutre et impersonnel, qui aura pour but de faire une interconnexion des regroupements de jeunes afin de les fédérer, de recueillir et de veiller sur la mise en œuvre de leurs travaux, conclusions et orientations.