Les populations de Popenguine broient du noir en cette période de Covid 19. Certains, en profitent pour faire des activités ludiques très lucratives. Père Bruno, rencontré par Leral TV exhorte les populations à s’approprier des mesures barrières en ce temps de Covid 19. « A Popenguine, c’est la Paroisse et le Sanctuaire. Là on est au sanctuaire, tous les pèlerinages sont suspendus. Raison pour laquelle, nous en profitons pour développer des activités. J’invite tous les jeunes à se mobiliser pour suivre avec rigueur les indications des médecins. Je recommande à se nourrir de la parole de Dieu pour combattre le mal. Puisque, Dieu est amour. J’encourage à garder une certitude de l’âme », a professé le Père Bruno. L’homme de Dieu recommande aux élèves, devant reprendre les cours, à faire confiance aux autorités.
Ainsi, Matar Ndao, riverain dit sa surprise, concernant l’aide alimentaire. Seulement, au moment où on interdit des rassemblements, dénonce-t-il, des gens sont venus ici avec des autorisations pour tourner des films. D’après lui, certains croient même que la maladie n’existe pas. « A Popenguine, il n’y a pas d’internet. Mais, nos enfants sont régulièrement devant la mer pour jouer. On nous attribue des cas positifs qu’on peine à identifier. C’est vrai la maladie existe. Mais, il faut faire de sortes que les populations puissent croire à son existence », invite-t-il.
Sur le même lieu, une brave dame, vendeuse de poissons, accrochée par Leral TV, a exprimé sa désolation, liée à la mévente de ses produits. Elle reconnaît que l’aide alimentaire n’est pas encore parvenue à Popenguine.
Mais, les étrangers bloqués à Popenguine ne se plaignent pas. C’est le cas de cette dame blanche, venue d’ailleurs, bloquées par la Covid 19. « Je vis à Popenguine depuis près de 3 mois. Je trouve que le Sénégal a très vite réagi comme les autres pays du monde. J’attends juste, la réouverture des frontières pour rentrer », a-t-elle dit. Les travailleurs de la pêche et de l’agriculture, constate-t-elle, ont des difficultés.
Un autre pêcheur, Ass Faye, venu de Kafounting, il de cela deux jours, réclame la réouverture des frontières. « Je suis rentré hier de Kafounting. Mais, d’autres personnes sont bloquées là-bas. J’aurais souhaité qu’elles rentrent auprès de leurs familles », a-t-il plaidé.
Ainsi, Matar Ndao, riverain dit sa surprise, concernant l’aide alimentaire. Seulement, au moment où on interdit des rassemblements, dénonce-t-il, des gens sont venus ici avec des autorisations pour tourner des films. D’après lui, certains croient même que la maladie n’existe pas. « A Popenguine, il n’y a pas d’internet. Mais, nos enfants sont régulièrement devant la mer pour jouer. On nous attribue des cas positifs qu’on peine à identifier. C’est vrai la maladie existe. Mais, il faut faire de sortes que les populations puissent croire à son existence », invite-t-il.
Sur le même lieu, une brave dame, vendeuse de poissons, accrochée par Leral TV, a exprimé sa désolation, liée à la mévente de ses produits. Elle reconnaît que l’aide alimentaire n’est pas encore parvenue à Popenguine.
Mais, les étrangers bloqués à Popenguine ne se plaignent pas. C’est le cas de cette dame blanche, venue d’ailleurs, bloquées par la Covid 19. « Je vis à Popenguine depuis près de 3 mois. Je trouve que le Sénégal a très vite réagi comme les autres pays du monde. J’attends juste, la réouverture des frontières pour rentrer », a-t-elle dit. Les travailleurs de la pêche et de l’agriculture, constate-t-elle, ont des difficultés.
Un autre pêcheur, Ass Faye, venu de Kafounting, il de cela deux jours, réclame la réouverture des frontières. « Je suis rentré hier de Kafounting. Mais, d’autres personnes sont bloquées là-bas. J’aurais souhaité qu’elles rentrent auprès de leurs familles », a-t-il plaidé.