En 1969, alors qu’il n’avait que douze ans, il devient membre du mouvement des jeunes de l’Union progressiste sénégalaise (UPS, l’ancêtre du PS).
En 1976, il est élu secrétaire général de la 3-ème coordination de Dakar des Jeunesses socialistes. En 1979, il devient secrétaire général de l’Union régionale des jeunesses socialistes du Cap-Vert.
En 1996, il passe le relais à Papa Babacar Mbaye, ancien ministre chargé des Relations avec les Assemblées. La même année, il hérite du poste de secrétaire national aux élections du PS.
Khalifa Ababacar Sall a gravi très vite les échelons. Elu député pour la première fois en 1983, il est réélu en 1988 et en 1993.
Après les élections législatives de 1993, il est nommé ministre délégué chargé des Relations avec les Assemblées.
Inscrit sur la liste départementale aux élections législatives de mai 1998, il est battu. Mais son parti, le PS, s’impose dans sa circonscription de Grand-Yoff.
Il éprouve beaucoup de mal à accepter cette défaite et accuse alors l’opposition d’avoir ‘’utilisé massivement de fausses pièces d’identité’’. Mais celle-ci ne veut pas se laisser compter et accuse à son tour Khalifa Ababacar Sall d’être ’’le voleur qui crie au voleur’’.
Pour le socialiste, la déception était d’autant plus grande que le PS avait remporté les élections locales de 1996. Une victoire grâce à laquelle il avait pris les rênes de la commune de Grand-Yoff.
La défaite de 1998 est cependant sans conséquence sur sa carrière ministérielle. En effet, il est nommé au poste de ministre du Commerce et de l’Artisanat dans le gouvernement de Mamadou Lamine Loum au mois de juillet de la même année.
Khalifa Abacar Sall est l’un des responsables socialistes qui avaient le plus été éprouvés par la défaite du candidat socialiste Abdou Diouf à l’élection présidentielle de février-mars 2000. Pouvait-il en être autrement lorsque l’on sait qu’il occupait à l’époque les fonctions de chargé des élections du Parti socialiste ?
Depuis que son parti a perdu le pouvoir, il se consacre entièrement à ses activités au sein du PS.
Né le 1er janvier 1956 à Louga, il obtient une maîtrise d’histoire en 1983 à l’Université de Dakar, puis en 1987 une maîtrise en droit constitutionnel.
Entre 1981 et 1982, il enseigne comme professeur d’histoire et de géographie dans un collège. Elu maire de Dakar, Khalifa Abacar Sall se présente plutôt comme un homme du sérail puisqu’il a déjà occupé le poste d’adjoint au maire de cette ville à partir de 1984. Une expérience qui vient s’ajouter à celle de conseiller régional de Dakar (1996).
aps
En 1976, il est élu secrétaire général de la 3-ème coordination de Dakar des Jeunesses socialistes. En 1979, il devient secrétaire général de l’Union régionale des jeunesses socialistes du Cap-Vert.
En 1996, il passe le relais à Papa Babacar Mbaye, ancien ministre chargé des Relations avec les Assemblées. La même année, il hérite du poste de secrétaire national aux élections du PS.
Khalifa Ababacar Sall a gravi très vite les échelons. Elu député pour la première fois en 1983, il est réélu en 1988 et en 1993.
Après les élections législatives de 1993, il est nommé ministre délégué chargé des Relations avec les Assemblées.
Inscrit sur la liste départementale aux élections législatives de mai 1998, il est battu. Mais son parti, le PS, s’impose dans sa circonscription de Grand-Yoff.
Il éprouve beaucoup de mal à accepter cette défaite et accuse alors l’opposition d’avoir ‘’utilisé massivement de fausses pièces d’identité’’. Mais celle-ci ne veut pas se laisser compter et accuse à son tour Khalifa Ababacar Sall d’être ’’le voleur qui crie au voleur’’.
Pour le socialiste, la déception était d’autant plus grande que le PS avait remporté les élections locales de 1996. Une victoire grâce à laquelle il avait pris les rênes de la commune de Grand-Yoff.
La défaite de 1998 est cependant sans conséquence sur sa carrière ministérielle. En effet, il est nommé au poste de ministre du Commerce et de l’Artisanat dans le gouvernement de Mamadou Lamine Loum au mois de juillet de la même année.
Khalifa Abacar Sall est l’un des responsables socialistes qui avaient le plus été éprouvés par la défaite du candidat socialiste Abdou Diouf à l’élection présidentielle de février-mars 2000. Pouvait-il en être autrement lorsque l’on sait qu’il occupait à l’époque les fonctions de chargé des élections du Parti socialiste ?
Depuis que son parti a perdu le pouvoir, il se consacre entièrement à ses activités au sein du PS.
Né le 1er janvier 1956 à Louga, il obtient une maîtrise d’histoire en 1983 à l’Université de Dakar, puis en 1987 une maîtrise en droit constitutionnel.
Entre 1981 et 1982, il enseigne comme professeur d’histoire et de géographie dans un collège. Elu maire de Dakar, Khalifa Abacar Sall se présente plutôt comme un homme du sérail puisqu’il a déjà occupé le poste d’adjoint au maire de cette ville à partir de 1984. Une expérience qui vient s’ajouter à celle de conseiller régional de Dakar (1996).
aps