Fils de commerçant, il suit les traces de son père, en se lançant très tôt dans les affaires, après son baccalauréat série D. Il fait ainsi ses premiers pas dans la location de cassettes vidéo, la vente d’appareils électroménagers et des pièces détachées et, ensuite dans l’exportation de l’or.
En 1989, il s’investit dans les secteurs de l’Immobilier et des Travaux Publics, en créant EBOMAF. Les contrats pour l’entretien des routes et la construction de services sociaux de base (écoles, lycées, centres de santé…) exécutés avec brio, font place à des marchés de grands travaux, tels que le bitumage de routes. EBOMAF prend des galons et, devient une société anonyme (SA) au capital de 300 millions F CFA en 2006, avec, pour seuls actionnaires, Mahamadou Bonkoungou et ses enfants.
Dès 2010, il va à la conquête de la sous-région et, entre définitivement dans la «cour des grands», en se distinguant, par la qualité de ses travaux. Après le Togo, où il a signé d’importants contrats pour la construction de routes, il ajoute à son tableau de bord, plusieurs autres pays, en y décrochant des marchés de construction d’infrastructures de premiers plans. Guinée-Conakry, Côte d’Ivoire, Bénin, Libéria, Djibouti, séduits par le modèle EBOMAF et tombent sous son pavillon, sont à la hauteur de ses ambitions et de son goût obstiné pour le travail bien fait.
A force de détermination et de courage, Mahamadou Bonkoungou, qui, s’est attaché les services de plusieurs ingénieurs africains, européens, asiatiques et américains, rompus au génie civil, est devenu le nouveau magnat ouest-africain du BTP.
Très discret et généreux, cet homme d’affaires cinquantenaire, est également présent dans l’hôtellerie et le transport aérien, à travers la location de jets privés. Signe de reconnaissance de ses nombreuses performances au Burkina Faso et, en Afrique, il collectionne les lauriers.
Confidentiel Afrique
En 1989, il s’investit dans les secteurs de l’Immobilier et des Travaux Publics, en créant EBOMAF. Les contrats pour l’entretien des routes et la construction de services sociaux de base (écoles, lycées, centres de santé…) exécutés avec brio, font place à des marchés de grands travaux, tels que le bitumage de routes. EBOMAF prend des galons et, devient une société anonyme (SA) au capital de 300 millions F CFA en 2006, avec, pour seuls actionnaires, Mahamadou Bonkoungou et ses enfants.
Dès 2010, il va à la conquête de la sous-région et, entre définitivement dans la «cour des grands», en se distinguant, par la qualité de ses travaux. Après le Togo, où il a signé d’importants contrats pour la construction de routes, il ajoute à son tableau de bord, plusieurs autres pays, en y décrochant des marchés de construction d’infrastructures de premiers plans. Guinée-Conakry, Côte d’Ivoire, Bénin, Libéria, Djibouti, séduits par le modèle EBOMAF et tombent sous son pavillon, sont à la hauteur de ses ambitions et de son goût obstiné pour le travail bien fait.
A force de détermination et de courage, Mahamadou Bonkoungou, qui, s’est attaché les services de plusieurs ingénieurs africains, européens, asiatiques et américains, rompus au génie civil, est devenu le nouveau magnat ouest-africain du BTP.
Très discret et généreux, cet homme d’affaires cinquantenaire, est également présent dans l’hôtellerie et le transport aérien, à travers la location de jets privés. Signe de reconnaissance de ses nombreuses performances au Burkina Faso et, en Afrique, il collectionne les lauriers.
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