Une autre facette de ce banquier émérite, est l’art de l’écriture, chevillé au corps de l’enfant de Markala. Son livre intitulé «C’est possible au Mali» publié en 2018, un vrai-best-librairie, à la veille de l’élection présidentielle malienne, a sorti des tripes, à travers les feuilles de cet ouvrage, ce talent de grand écrivain.
La vie du «diable rouge» comme l’appellent ses fans, est riche en virages et rebondissements. De ses jeunes années en URSS à la découverte de son pays, le Mali, que de défis relevés !
Quelles que soient les responsabilités occupées, dans le secteur privé ou public, il a toujours été guidé par une volonté farouche: celle d’apporter davantage de bien-être à ses compatriotes et à son «village», terroir de ses ancêtres : Markala, la Cité ouvrière.
Au sommet de la hiérarchie de grandes banques ouest-africaines au Mali, en Guinée-Bissau et au Sénégal (BDM, BIM, Bank of Africa) ou au sein des gouvernements, qu'il a servis, en qualité de ministre (Ministre de l’Énergie, des Mines et de l’Eau de 2008 à 2011 sous le régime du Président Amadou Toumani Touré, puis, Ministre de l’Économie et des Finances de 2015 à 2016 avec le Président Ibrahim Boubacar Keïta ), son action n’a jamais dérogé à ce dessein. Un défi dans un pays pauvre, où privilèges et corruption sont monnaie courante.
Mamadou Igor Diarra est un homme de conviction et, surtout un homme d’action. Un homme de tempérament aussi. Fort de ses expériences et de ses réalisations, Igor Diarra est aujourd’hui, l’un des rares cadres maliens qui, à chaque fois qu’il est libéré de ses charges au Mali, est sollicité à servir l’Afrique.
Avec engagement et loyauté.
Confidentiel Afrique
La vie du «diable rouge» comme l’appellent ses fans, est riche en virages et rebondissements. De ses jeunes années en URSS à la découverte de son pays, le Mali, que de défis relevés !
Quelles que soient les responsabilités occupées, dans le secteur privé ou public, il a toujours été guidé par une volonté farouche: celle d’apporter davantage de bien-être à ses compatriotes et à son «village», terroir de ses ancêtres : Markala, la Cité ouvrière.
Au sommet de la hiérarchie de grandes banques ouest-africaines au Mali, en Guinée-Bissau et au Sénégal (BDM, BIM, Bank of Africa) ou au sein des gouvernements, qu'il a servis, en qualité de ministre (Ministre de l’Énergie, des Mines et de l’Eau de 2008 à 2011 sous le régime du Président Amadou Toumani Touré, puis, Ministre de l’Économie et des Finances de 2015 à 2016 avec le Président Ibrahim Boubacar Keïta ), son action n’a jamais dérogé à ce dessein. Un défi dans un pays pauvre, où privilèges et corruption sont monnaie courante.
Mamadou Igor Diarra est un homme de conviction et, surtout un homme d’action. Un homme de tempérament aussi. Fort de ses expériences et de ses réalisations, Igor Diarra est aujourd’hui, l’un des rares cadres maliens qui, à chaque fois qu’il est libéré de ses charges au Mali, est sollicité à servir l’Afrique.
Avec engagement et loyauté.
Confidentiel Afrique