En 1883, déjà, orphelin de père, l'imam Limamoulahi perd sa mère et s'enfermant trois jours sans boire ni manger, c'est au terme, d'ailleurs, de ces trois jours, qu'il lança l'appel venait à l'appel de DIEU, vous hommes et djinns.
Je suis l'envoyé de DIEU- des déclarations qui lui ont valu des jugements négatifs. L'on nous apprend d'ailleurs que bon nombre de chefs religieux et coutumiers, ne les ont pas acceptés et ont commencé à le mettre en mal avec les colons à l'époque.
Les colons qui commencèrent à craindre son influence, voulurent le déporter. Finalement, Seydina Limamoulahi va demeurer trois mois à Gorée, à cause de son disciple, Abdoulaye Diallo, qui a été emprisonné à sa place, car les colons n'avaient pas pu l'enfermer.
À son retour, Seydina Limamoulahi,, continue à enseigner et à prêcher la droiture et un culte religieux propre et sincère, débarrassé des traditions qu'il juge non conformes à l'islam. Avant sa disparition en 1909, âgé de 66 ans, il laissa un livre, divisé en six parties, est connu sous le nom de sermon qu'il demande à ses serviteurs de transmettre.
D'ailleurs, les Layènes sont connus pour leur souci de propreté, aussi bien au sens physique que moral, prônant un islam propre et sincère, qui refuse la souillure à tous les sens du terme. C'est ainsi que les abolitions ne s'arrêtent pas aux chevilles et remontent jusqu'aux genoux chez les Layènes.
Les femmes occupent une place entière dans la confrérie. Elles participent aux veillées des chants religieux, au même titre que les hommes. Enfin, les Layènes se caractérisent également par le fait qu'ils décalent les horaires traditionnels de prière, afin de permettre de se préparer.
C'est à la prière par des chants et le jour du huitième mois du calendrier musulman, les Layènes célèbrent à Yoff, l'anniversaire de l'appel de Seydina Limamoulahi.
Je suis l'envoyé de DIEU- des déclarations qui lui ont valu des jugements négatifs. L'on nous apprend d'ailleurs que bon nombre de chefs religieux et coutumiers, ne les ont pas acceptés et ont commencé à le mettre en mal avec les colons à l'époque.
Les colons qui commencèrent à craindre son influence, voulurent le déporter. Finalement, Seydina Limamoulahi va demeurer trois mois à Gorée, à cause de son disciple, Abdoulaye Diallo, qui a été emprisonné à sa place, car les colons n'avaient pas pu l'enfermer.
À son retour, Seydina Limamoulahi,, continue à enseigner et à prêcher la droiture et un culte religieux propre et sincère, débarrassé des traditions qu'il juge non conformes à l'islam. Avant sa disparition en 1909, âgé de 66 ans, il laissa un livre, divisé en six parties, est connu sous le nom de sermon qu'il demande à ses serviteurs de transmettre.
D'ailleurs, les Layènes sont connus pour leur souci de propreté, aussi bien au sens physique que moral, prônant un islam propre et sincère, qui refuse la souillure à tous les sens du terme. C'est ainsi que les abolitions ne s'arrêtent pas aux chevilles et remontent jusqu'aux genoux chez les Layènes.
Les femmes occupent une place entière dans la confrérie. Elles participent aux veillées des chants religieux, au même titre que les hommes. Enfin, les Layènes se caractérisent également par le fait qu'ils décalent les horaires traditionnels de prière, afin de permettre de se préparer.
C'est à la prière par des chants et le jour du huitième mois du calendrier musulman, les Layènes célèbrent à Yoff, l'anniversaire de l'appel de Seydina Limamoulahi.